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Après L'autoprod, L'autodistribution ?, Devenir tous distributeur de notre musique ? |
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ven. 14 nov. 2008, 13:52
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Rookie
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Citation (blek @ ven 14 nov 2008, 13:17) Effectivement obtenir un code-barre pour 20 $, ça va être difficile de trouver moins cher. ... Mais peut être pas impossible : il existe des logiciels (dont certains gratuits) pour générer des codes barre (EAN) Exemple sur google ici
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ven. 14 nov. 2008, 14:08
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R.I.P.
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Citation (Plus30 @ ven 14 nov 2008, 13:13) Tu es sûr de ce prix mrleon ? ça me paraît bien peu, parce que iTunes par exemple reverse 0,71 aux agrégateurs... ça fait peu de marge pour CDBABY. En règle générale des sociétés comme Beleive, pour un label, laisse 60%, donc il reste plutôt 0,42 HT... Je sais que c'est l'argent qu'il me donnent. Après pourquoi, comment et dans quel sens... Oui, les marge de CDBaby sont assez faible, mais leurs volumes de transactions sont BEAUCOUP plus gros que les concurrents. Citation (blek @ ven 14 nov 2008, 13:17) Merci à vous deux de ces infos. Effectivement obtenir un code-barre pour 20 $, ça va être difficile de trouver moins cher. Cependant, il s'agit d'un code UPC, l'équivalent de notre code EAN mais pour l'Amérique du Nord. Il semble utilisable en Europe mais cela ne va-t-il pas rendre ce CD français comme un import sur le marché européen ? Oui c'est au cas fortement improbable qu'il soit distribué dans un circuit plus traditionnel. Mais bon, je me renseigne car je suppose qu'il faut que j'imprime ce code-barre sur notre pochette. Je suis assez séduit par CD Baby et la simplification des problèmes auxquels je suis confronté. Après ça évidemment, vendre sera une autre affaire. Tu n'as pas besoin de pourrir ta pochette avec un code barre imprimé. C'est juste histoire d'être distribuable. Citation (iza @ ven 14 nov 2008, 13:52) Citation (blek @ ven 14 nov 2008, 13:17) Effectivement obtenir un code-barre pour 20 $, ça va être difficile de trouver moins cher. ... Mais peut être pas impossible : il existe des logiciels (dont certains gratuits) pour générer des codes barre (EAN) Exemple sur google ici??? Tu confond un générateur de code barre et l'attribution d'un code unique de mise sur le marché. Encore une fois, je pense que CDBaby est une solution très adaptée à des gens comme moi. Ca serait peut-être un peu juste si les ventes de disques décollaient, mais, rassurez vous, ce n'est pas le cas. (d'ailleurs, c'est bientôt Noël, si vous avez de la famille dans l'agriculture N'HESITEZ PAS !!!)
Ce message a été modifié par mrleon - ven. 14 nov. 2008, 14:09.
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mer. 10 déc. 2008, 14:53
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Moderator
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Citation (Philippelay @ mer 10 déc 2008, 14:31) ... Le grand n'importe quoi en somme Ben oui ! Maintenant que n'importe quel abruti peu prétendre être un artiste, il va falloir trouver des nouvelles règles de sélection Poils au(x) ? ...
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Plombier, DéZingueur de HP, ferblantier
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ven. 12 déc. 2008, 12:12
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Citation (Philippelay @ mer 10 déc 2008, 15:31) Eh oui, ils ne savent pas plus comment faire, ils n'ont pas le temps, pas l'argent, et pourtant ils continuent de signer de nouveaux artistes, au cas où..! Le grand n'importe quoi en somme Bonjour, la promo, enfin les promos c'est un truc pas simple. Pour ce qui est de la presse, je pensait bêtement, que la base du métier de journaliste, ça pouvait être l'investigation, ou au minimum, la collecte d'informations, et leur propagation, agrémentée ou pas d'un avis personnel. On peut penser que c'est la base du job, d'être à l'affût des nouveautés, des événements et de les proposer. Or, j'ai maintenant l'impression que c'est beaucoup plus compliqué que ça. Certes, ils (les journalistes) sont hyper sollicités de partout, ils ont souvent des lignes éditoriales à respecter, ce qui exclue généralement toutes les choses qui ne sont pas dans la norme. Il n'est pas impossible qu'il y ait une pression de la part des "hiérarchies", pour ne finalement parler que de choses plus ou moins déjà connues, afin de ne pas faire fuir les lecteurs et les annonceurs. J'ai donc peur que pour beaucoup de journalistes, il soit difficile de s'avancer sur des nouveautés, initiatives, de peur de se faire jeter et d'avoir bossé pour rien. Ils ont peut-être du mal à trier les infos fantaisistes, des trucs sérieux ? Mais bon... on peut alors s'interroger sur ce qu'est leur métier? Ou alors se demander, comment faire en sorte de provoquer leur intérêt pour qu'ils puissent raccorder ce qu'on leur propose avec ce qui est "dans la ligne éditoriale" de ce pour qui ils travaillent (excusez-moi ce n'est pas très français comme phrase !) Concernant la promo des ventes, comme il n'y a plus ni représentant, ni de détaillant, la seule solution pour les labels c'est de "monter des opés" ce qui nécessite des idées et de l' argent, qui sont parfois 2 choses manquantes dans les maisons de disques .... (pardon si je froisse certains !) L'idée d'un label pourrait être, pour accrocher les journalistes et faire de la promo, d'avoir pleins d'artistes, pour communiquer sur une logique de marque, et éviter les "j'aime pô" quand on propose un disque, et essayer de regrouper les dépenses. Ce qui justifierais les multiples signatures. Egalement pour profiter des réseaux de chacun... Si quelqu'un a des infos, ou si il y a un journaliste parmi nous........ Bonne journée. O. Ceci n'est que suputation.
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mar. 3 févr. 2009, 14:57
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SuperHero
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Citation (overdrive @ ven 12 déc 2008, 12:12) Citation (Philippelay @ mer 10 déc 2008, 15:31) Eh oui, ils ne savent pas plus comment faire, ils n'ont pas le temps, pas l'argent, et pourtant ils continuent de signer de nouveaux artistes, au cas où..! Le grand n'importe quoi en somme Bonjour, la promo, enfin les promos c'est un truc pas simple. Pour ce qui est de la presse, je pensait bêtement, que la base du métier de journaliste, ça pouvait être l'investigation, ou au minimum, la collecte d'informations, et leur propagation, agrémentée ou pas d'un avis personnel. On peut penser que c'est la base du job, d'être à l'affût des nouveautés, des événements et de les proposer. Or, j'ai maintenant l'impression que c'est beaucoup plus compliqué que ça. Certes, ils (les journalistes) sont hyper sollicités de partout, ils ont souvent des lignes éditoriales à respecter, ce qui exclue généralement toutes les choses qui ne sont pas dans la norme. Il n'est pas impossible qu'il y ait une pression de la part des "hiérarchies", pour ne finalement parler que de choses plus ou moins déjà connues, afin de ne pas faire fuir les lecteurs et les annonceurs. J'ai donc peur que pour beaucoup de journalistes, il soit difficile de s'avancer sur des nouveautés, initiatives, de peur de se faire jeter et d'avoir bossé pour rien. Ils ont peut-être du mal à trier les infos fantaisistes, des trucs sérieux ? Mais bon... on peut alors s'interroger sur ce qu'est leur métier? Ou alors se demander, comment faire en sorte de provoquer leur intérêt pour qu'ils puissent raccorder ce qu'on leur propose avec ce qui est "dans la ligne éditoriale" de ce pour qui ils travaillent (excusez-moi ce n'est pas très français comme phrase !) Concernant la promo des ventes, comme il n'y a plus ni représentant, ni de détaillant, la seule solution pour les labels c'est de "monter des opés" ce qui nécessite des idées et de l' argent, qui sont parfois 2 choses manquantes dans les maisons de disques .... (pardon si je froisse certains !) L'idée d'un label pourrait être, pour accrocher les journalistes et faire de la promo, d'avoir pleins d'artistes, pour communiquer sur une logique de marque, et éviter les "j'aime pô" quand on propose un disque, et essayer de regrouper les dépenses. Ce qui justifierais les multiples signatures. Egalement pour profiter des réseaux de chacun... Si quelqu'un a des infos, ou si il y a un journaliste parmi nous........ Bonne journée. O. Ceci n'est que suputation. s il y avait un journaliste parmi vous , je crois bien qu il te jugerait fort naif . ses coups de coeur ne seraient pas les tiens . Ta vision d un label avec plein d artistes le ferait fuir d avance ( c est pas demain que la tamla va se reinventer et meme Burgalat n y est pas arrive ) et c est plus excitant pour tout le monde de parler de Doherty ou de tellier que d'un petit groupe français qui fait du sous rage againt the machine en baragouinant en anglais . c est meme pas une histoire de pression de la hierarchie mais de systeme . L inconnu est triste , l inconnu qui rame carrement repoussant . la merde qui buzze ... au moins elle buzze . ce qui est sexy . sinon tu parles de Coltrane ou du Band . les inrocks ou technikart font au moins semblant de s exciter sur des trucs , ponctuellement . Ils sont pas dupes mais ils le font . c est tout a leur honneur . Arretez de croire que c est une histoire de " musique " notion subjective s il en est . Il y a des gens ( en province surtout il est vrai) qui pensent que Metallica est le meilleur groupe du monde ou que Phish , c est le top ! Risquent pas de comprendre le monde dans lequel ils vivent , avec Tellier et Amy . Et ils setonnent que leur groupe n interesse personne ... Et puis ca fait trente ans, grosso modo, qu il ne se passe plus rien et que tout le monde le sait . Alors faut buzzer ou crever .
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brian Holden
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