Pauvre SCPP !!, Industrie Options

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Commentaires sur:

Pauvre SCPP !!

[1964]

Les producteurs phonographiques n'ont que ce qu'ils méritent...A force d'ent...... leurs clients depuis des decennies voilà le juste retour des choses...ils ne sont pas les seuls "coupables" dans ces affaires de téléchargement illégal:de nombreux artistes sont complices:combien ont sortis des cd avec 12 ou 15 titres alors qu'un seul etait "écoutable"? Bien fait pour eux.Vive la liberté,vive la gratuité, qu'ils aillent tous se faire enc....!
PS:quand au music store à 99 cts le titre, même commentaire et même sentence.

[lepetitmartien]

Vieux débat? mais apparement la SCPP ne lit pas les commentaires de leurs potentiels clients… ce que je trouve dangereux pour un commerçant…

[melenko]

oui LPM, le marketing d'aujourd'hui est prioritairement
l'expression de la volonté de l'actionnariat, faire encore plus de fric,
en faisant belle-belle avec les consommateurs..."nous vous avons
compris"!!!
Et Clouvel, pardonnes moi, ils ne "font" pas le droit, ils l'utilisent!!!
Qui fait le droit?
Les assemblées législatives, émanation de la voix populaire.
Alors, à quand la prochaine Révolution?

[kaz1]

cette association de "malfaiteurs", à pour seul et unique but de mainteanir la situation en l'état, comme hélas beaucoup d'autres assoc. pro du secteur. Elles collectent des fonds, demandent des subvention, sollicite des mécènes, établissent des partenariats avec des distributeurs et/ou des diffuseurs, bref elles engrangent copieusement de partout et pour quoi faire, rien ou presque, quelques minables actions... le gros du butin allant dans des trains de focntionement somptuaires et des subventions à des artistes et labels affirmés amis qui n'ont pas besoin... bref accroche pour obtenir quoique ce soit de leurs parts...
c'est le résultat d'un politique française basé sur le népotisme forcené, l'entrisme débridé, le copinage ehonté, hors de ça point de salut.

Où sont les labels et artistes indépendants qui devraient être le fleuron de cette industrie. ils sont savamenet jugulés, puis filtrés et enfin récupéré par le biais d'un parachuté coopté... bref, uatant laisser ce truc systéme sur lui-même dans son lamentable ' jet-settisme d'operette" ou les repères sont truqués à la base. Qu'ils déposent tous plaintes.. qu'ils fassent des procès au frais de la princesse... ils sont déjà morts, mais il ne savent pas...

après de nombreuse années à cotoyer ce milieu, voilà ma réaction quant à cette nouvelle..

Allez courage travaillons et devenons autonome..

kaz1

[gasy]

oui LPM, le marketing d'aujourd'hui est prioritairement
l'expression de la volonté de l'actionnariat, faire encore plus de fric,
en faisant belle-belle avec les consommateurs..."nous vous avons
compris"!!!

En lisant ton commentaire, ça me fait penser à une chose : avant on parlait de la "dictature du prolétariat" et maintenant, on vit dans la "dictature de l'actionnariat". Et là, il n'y a qu'une seule loi marketing - si on peut appeler ça du marketing - soit tu paies (en espèces sonnantes et trébuchantes) soit ... tu paies (en procédures judiciaires).
En tout cas drôle d'époque où l'on considère un client comme un voleur (potentiel ?)

[melenko]

Gasy, le terme dictature n'est vraiment pas trop fort

[kaz1]

Bon d'accords, on est à peu près tous d'accord pour dire... ce système est foireux, mais efficacement aliènant.

Ok, mais que faire ? ... que proposer comme alternative ? Si, pae exemple, on prend comme ligne de d'horizon, le système alternatif actuel, il faut bien l'admettre, même s'il fonctionne qu'il n'a pas pour but de "réellementé" favoriser de nouveaux réseaux de distribution, de production, de développement, mais plus exactement de servir de levier pour permettre à quelques uns d'être remarqué par une major.

Alors si l'on fait fi de tous cet imbroglio culturo-politico-médiatico-marketing, quelles sont les réelles alternatives ? Peut-être l'exemple de "Prince", qui osent la combinaison CD+ Billets de concert en vente excluive sur internet...!!! admettons ! faut-il encore mettre en forme cela, le formaliser, prendre le risque de confédérer les artistes ?

Cette option n'est pas une mince affaire au regard de l'inflation égotique qui hélas souvent nous caractérise, je peux vous dire qu'en 1987/88, j'ai travaillé l'ambrion de ce qui est devenu le syndicat des studios d'enregistrement en france, ça pas été de la tarte, plein la gueule que t'en prends et gratos avec ça.

Bref, si au lieu de vociférer, nous émettions des idées constructives.. la communauté MAC, a déjà demontré sa capacité à développer de nouvelle idée.. alors Messieurs, je vous pose la question qui est prêt pour l'aventure ? moi je dit Ok !