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Len Sur Le Dos, Mensonges Et Idéaux !, en finir avec l'alibi du P2P... |
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jeu. 1 avril 2004, 09:41
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Maniac Member
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Tu m'étonnes, si j'avais la caillasse, j'aurais tout mis sur bande ! Mais il y eut une période ou les K7 CrO2 de TDK et Maxell assuraient pas mal. Coûtaient le triple, mais ça s'entendait. Les "Metal", quelle horreur ! Et pis z'avais de zoulis tympans tout beaux tout neufs, il y a 20 ans.
Je vais pas faire mon intégriste, le CD du remastering de "Kind Of blue", l'est pas dégueu... "Abbey Road" non pluche...
Mais le concert à Cologne de Keith Jarrett, mieux en vynile à mon avis. Mais bon, comme les fleurs, c'est périssable... et y'a des alchimies de "chaîne du son" à un instant donné. Telle platine vynile, à travers tel ampli, à travers telle platine K7. Mais j'ai eu du bol de passer partie de ma jeunesse avec des copains de famille nanties ET cultivées musicalement. Ça va point forcément de pair.
Je crois que ça dépend aussi un poil du genre musical, mais essentiellement du gars aux manettes. Mais attention, je suis tout humble, même face à un mauvais masteriseur : c'est tellement difficile ! J'ai essayé de faire le malin avec les Waves, et ben mon gars, c'est là qu'on voit que les semi-ignares de mon espèce ont de graves lacunes question théorie. Sans parler que le moindre rack utilisé chez Bernie Grundman vaut plus cher que tout mon matos réuni.
Et si on veut se remettre On Topic en tirant les cheveux, je dirais : "Bah j'a la solution. Revenons zalanalogique.". Ne serait-ce que pour le plaisir de toucher ce que l'on écoute, zut ! Le cérémonial du vynile, l'admiration de voir un Revox rembobiner à toute blingue, et halluciner sur la bande qui ne casse pas lorsqu'on fait "stop", le coup des "Face A" et "Face B" et les calculs pour y faire tenir ses playlist...
Le mois dernier j'ai eu la chance de tomber sur une platine K7 et un ampli, du temps où tout se faisait en métal brossé, qu'un gars avait mis à la poubelle. Sans trop y croire, arrivé chez moi je branche le bazar... tout fonctionne, à part une loupiote ou deux ! Autant vous dire que l'espèce d'insecte immonde de radio-K7, qui m'a coûté une fortune chez Carrefour, et je dis fortune alors que j'ai pris le moins cher, mais quand t'entends la daube qui sort de ses pseudos-speakers... même le CD fait du souffle ! Et pourtant c'est de la marque. En fin bref, l'insecte disais-je, je vais le bazarder de la chambre des mômes vite fait et enfin éduquer leurs jeunes oreilles avec du matos qui pèse lourd. Passque ça pèse lourd. Leur ghetto-blaster à tête de cafard prend autant de place et pèse le tiers, cette daube en plastoc.
Bon, quand j'aurais fini de vous raconter ma life je me remettrai peut-être au boulot, hein, passque c'est pas le tout, j'en ai encore couché une tartine. A vous Cognaq-Jay.
P.S. : "A vous Quoi ?" fait le jeune de moins de vingt ans.
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jeu. 1 avril 2004, 10:42
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Advanced Member
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QUOTE (bonatoc @ Apr 1 2004, 08:41) A vous Cognaq-Jay. mais oui Léon.. (Jean-Pierre qui???)
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mais ou est passé l'ordinateur?
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ven. 23 avril 2004, 11:30
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pouet-pouet
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Allez, encore un p'tite couche pour la route, on m'a fait circuler ça par mail... QUOTE En mars, un tribunal canadien a décidé de protéger l'identité des internautes échangeant de la musique sur Internet. Un juge de la Cour fédérale de justice du Canada s'est refusé à obliger les fournisseurs de services en ligne à révéler aux éditeurs de musique l'identité de 29 internautes suspectés d'avoir téléchargé et distribué gratuitement sur Internet plus de 1 000 oeuvres musicales via des sites d'échange peer-to-peer.
Par cette décision, la justice canadienne estime que les fournisseurs de services Internet n'ont pas à fournir les coordonnées et l'identité des internautes usant de pseudonymes. Le juge s'appuie sur le fait qu'il est presque impossible d'obtenir l'identifiant d'un ordinateur (adresse IP [Internet protocol]) lorsqu'on ne possède que le pseudonyme de l'internaute. En outre, il a estimé que le simple fait de partager en ligne des fichiers musicaux ne constituait pas une violation des droits d'auteur. Pour lui, les éditeurs de musique n'ont pas apporté la preuve que les « présumés contrevenants » aient « distribué ou autorisé la reproduction d'enregistrements sonores ». Selon lui, il n'y a pas eu distribution d'oeuvres, car les internautes suspectés n'ont pas envoyé eux-mêmes les copies des fichiers, ni fait de publicité indiquant la disponibilité de ces derniers afin de copie. Un véritable camouflet pour les industriels de ce secteur !
Un impact « statistiquement proche de zéro » sur les ventes de CD Par ailleurs, une récente étude universitaire américaine conclut que les échanges de fichiers musicaux peer-to-peer ne jouent qu'un rôle mineur dans la forte baisse des ventes de CD. Un rapport qui prend à contre-pied les nombreuses études commanditées par l'industrie du disque. Les professeurs Felix Oberholzer, de la Harvard Business School, et Koleman Strumpf, de l'université de Caroline du Nord à Chapel Hill, ont analysé en 2002, durant près de cinq mois, 1,75 million de téléchargements de fichiers musicaux. En comparant leurs résultats aux ventes des mêmes chansons issues de 500 albums, ils ont constaté que les échanges de fichiers, même à grande échelle, n'avait qu'un impact « statistiquement proche de zéro » sur les ventes d'albums : 5 000 téléchargements d'un album annulent la vente de... 1 CD.
Les auteurs soulignent en outre que « la majorité des utilisateurs sont des individus qui n'auraient pas acheté l'album, même en l'absence du partage de fichiers. » A contrario, les chiffres de l'étude montrent que les téléchargements auraient un impact positif sur les ventes d'albums d'artistes en vogue. D'autres facteurs sont mis, une fois de plus, en avant dans la chute des ventes de CD : la baisse des dépenses des ménages de biens de loisirs et la concurrence d'autres formes de loisirs technologiques (DVD, jeux vidéo...). Une étude immédiatement rejetée par la RIAA (Recording Industry Association of America), le syndicat des maisons de disques américaines.
Didier Ghacham
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mar. 27 avril 2004, 13:55
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Newbie
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La RIAA et ses petits soldats français qui se réunissaient ce matin sont vraiments fatigants je trouve. Il était largement possible d'anticiper tout ce qui arrive aujourd'hui comme le montre (entre autres) la série d'articles que j'ai écrit pour Keyboards depuis cinq ans et dont le premier s'intitulait "la fin de la musique en stéréo" Ces articles peuvent désormais être consultés en ligne sur mon site. La date de rédaction y est mentionnée pour chacun.
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