|
|
Len Sur Le Dos, Mensonges Et Idéaux !, en finir avec l'alibi du P2P... |
|
|
|
mar. 30 mars 2004, 10:35
|
Advanced Member
Groupe : Members
Messages : 400
Inscrit : 18 déc. 03
Lieu : Paris - FR
Membre no 31,365
|
QUOTE (bonatoc @ Mar 29 2004, 23:14) Aaaahhh, Deejaydust aussi l'a déterré quelquechose... Mais comme le dit petitmartien, ça devient lourd, même les plus niais font finir par rapprocher 2 et 2...
Laissons Brian bien au chaud dans son pseudo à la Clark Kent.
P.S. : rôh je fais du 3287e degré là... Bon, il suffit. [mode petit con]moi je voulais pas faire mon lourd.. c'est toi qu'a commencé, d'abord. et en plus, je l'avais grillé depuis longtemps (fastoche). nananere.. et toc, bonatoc. (t'aurais jamais du m'appeler Bernadette ) c'est celui qui dit qui est. [/mode petit con] too much kryptonite??
--------------------
mais ou est passé l'ordinateur?
|
|
|
|
|
mar. 30 mars 2004, 19:56
|
SuperHero
Groupe : Members
Messages : 2,724
Inscrit : 17 déc. 01
Lieu : Genève - CH
Membre no 2,714
|
Une étude sur le 2per2 de chercheurs de Hardward.... Harvard: 'File sharing doesn't hurt music sales' By Jonny Evans Two US universities have released research that flies in the face of music industry claims that file sharing hurts CD sales: it "is not so", they say. Professors Felix Oberholzer at Harvard University and Koleman Strumpf at the University of California got together to track music downloads across 17 weeks in 2002. They matched their data on file transfers with the actual market performance of the songs and albums being downloaded. They concluded that even large amounts of file-swapping had little effect on album sales: "Downloads have an effect on sales which is statistically indistinguishable from zero, despite rather precise estimates – moreover, these estimates are of moderate economic significance and are inconsistent with claims that file-sharing is the primary reason for the recent decline in music sales," they wrote. "While downloads occur on a vast scale, most users are likely individuals who would not have bought the album even in the absence of file sharing." Other factors involved They add: "At most, file sharing can explain a tiny fraction of (music sales) decline. This result is plausible given that movies, software, and video games are actively downloaded, and yet these industries have continued to grow since the advent of file sharing". The boffins point out several factors that may have affected music sales: "While a full explanation for the recent decline in record sales is beyond the scope of this analysis, several plausible candidates exist. These alternative factors include poor macroeconomic conditions, a reduction in the number of album releases, growing competition from other forms of entertainment such as video games and DVDs". The researchers also pointed at the tidal wave of media company consolidation that's been taking place worldwide. This has led to identi-kit playlists and radio stations that UK live music Tsar Fergal Sharkey told a lecture at the Royal Society "target teenage girls exclusively". They describe the effects of such consolidation as: "A reduction in music variety stemming from the large consolidation in radio along with the rise of independent promoter fees to gain airplay, and possibly a consumer backlash against record industry tactics." Historically, record sales declined in the late 1970s and early 1980s, and that sales in the 90s may have been high simply because music consumers were replacing their vinyl records with CDs. Major labels unaffected The researchers are vehement: "We do not believe file-sharing will have a significant effect on the supply of recorded music", they said. They observe that major labels rely on a small number of mass-market hit albums for their business. "For these albums, we find that the impact of file-sharing on sales is likely to be positive, leaving the ability of major labels to promote and develop talent intact." The artists most affected by file sharing are the smaller, developing ones – on whom the label's business proposition does not rely – but call the bad effects of the practice even on this segment as "statistically insignificant". They also find that most artists can't make a living from album sale royalties, meaning most musicians also rely on live gigs and tours, merchandise and other spin-off businesses. "Because the economic rewards are concentrated at the top and probably fewer than one per cent of acts ever reach this level, altering the payment rate should have very little influence on entry into popular music," they said, adding that "file sharing probably increases aggregate welfare". Labels deny report The researchers used logs from two OpenNap servers in late 2002 to observe about 1.75 million downloads over 17 weeks. They found average users logged on just twice to download about 17 songs. They tracked a random sample of 500 albums from the charts of different genres and compared sales to downloads. They said: "It takes about 5,000 downloads to displace sales of just one physical CD". "Despite the huge scale of downloading worldwide, that would be only a tiny contribution to the overall slide in album sales over the past several years", they added. The Recording industry Association of America dismissed the independent university-level research, telling Silicon.com: "Countless well-respected groups and analysts have determined that illegal file-sharing has adversely impacted the sales of CDs. Our own surveys show that those who are downloading more are buying less." However, peer-to-peer technologists welcome the research. Sharman Networks CEO Nikki Hemming said: "Consider the possibilities if the record industry actually co-operated with companies like us instead of fighting. We've offered content providers the opportunity to work with peer-to-peer customers for nearly two years, yet the record industry continues its narrow-minded strategy of litigation and legislation."
--------------------
LE PRINTEMPS DES AMOUREUXVIVE LA LUMIÈRENe perdez pas votre vie à la gagner, ne vous prenez pas au sérieux, d'autres le feront bien mieux pour vous !EN VACANCES DÉFINITIVES DE MAC MUSIC POUR DÉFAUT DE LANGUE DE BOIS
|
|
|
|
|
mer. 31 mars 2004, 01:38
|
Maniac Member
Groupe : Members
Messages : 929
Inscrit : 10 août 03
Lieu : Versailles - FR
Membre no 22,760
|
Ouaip, ça se tient. Mais à l'avant-dernier paragraphe, les premiers concernés restent mitigés... principalement parce que pour eux, un dollar perdu est un dollar perdu. Le raisonnement d'Harvard se tient, mais j'ai du mal à le rapprocher de mon expérience personnelle. J'ai eu le malheur de prêter (ou l'auto-satisfaction d'évangéliser) quelques-unes de mes bonnes galettes, comme "Cosmo's Factory" des CCR, le premier Tim Buckley, etc. Maintenant, qu'est-ce qu'il fait le père Bonatoc qui a envie de réécouter un peu tout ça ? Encore là je pourrais me justifier en disant que je les ai dûment acquis par le passé, mais le résultat est le même, ça fait à l'arrivée moins de sous dans leur poche. Ce qui est pire, c'est que je viens de découvrir récemment les New York Dolls et Berlin de Lou Reed ainsi. Continuant sur ma lancée, il me faut "On The Beach" de Neil Young, etc, etc. ... J'ai beau, d'un point de vue éthique, palabrer contre l'injustice que représente le fait de ne pas verser son écot pour des oeuvres qui le méritent, c'est au final la facilité avec laquelle je peux me les procurer qui a le dernier mot. Je sais, amazon.fr ou fnac.com c'est pas fait pour les chiens, mais il est encore moins facile de dégainer sa carte bleue, d'autant plus si l'on est boulimique et que la période est délicate. Les albums que je downloade ne me font pas office de borne d'écoute, d'incitation à l'achat. Je veux dire bêtement que ça y est, ils sont sur mon disque. Bon, c'est parois du 128k, ça craint mélomanalement parlant mais c'est malheuresement le travail qui me tient vissé à mon bureau qui a modifié ma façon d'écouter. J'espère revenir avant la retraite au temps béni ou j'étégnais toutes les lumières, me carrait le casque sur la tête, et partait pour un trip d'une heure avec l'album du jour (néanmoins le cérémonial-respiration-méditation du changement de face fait cruellement défaut aujourd'hui). Quand je commencerai à virer bourgeois à fesses flasques (ou prolo à fesses flasques, c'est ça la cohésion sociale !) et que je reverrai se pointer le temps libre (hopefully), sans doute que je me retaperai l'intégrale de Dylan en SACD. D'ici là...
--------------------
|
|
|
|
|
mer. 31 mars 2004, 04:15
|
Maniac Member
Groupe : Members
Messages : 929
Inscrit : 10 août 03
Lieu : Versailles - FR
Membre no 22,760
|
OK, I will... faut encore que je me mette à L.A.M.F. Mais le Tom, je l'aime bien aussi ! Bon, donc la RIAA, pas d'accord avec l'enquête. C'est peut-être une orchestration pour commencer à rapprocher les points de vue. D'un côté, les propriétaires des tuyaux craignent sans doute de voir les sénateurs américains légiférer trop durement, par un flicage systématique, ce qui aurait pour effet d'entraîner des surcoûts très durs pour tous les acteurs de l'internet (mise en place des backdoors à l'usage de la CIA et du FBI). Donc une petite étude pondue par les frais (v)é®moulus de leur ancienne école, ça va peut-être les amadouer et les faire promouvoir l'alliance plutôt que le choc frontal à tout ce beau monde. Parce que malgré la parano millénaire facile, world company n'est pas encore un gros monolithe. D'un côté les fournisseurs de contenu, de l'autre les fabricants de tuyaux... on avait cru un instant que c'était les mêmes, mais pas forcément en fait. D'où trobolle. Pendant ce temps-là, en Gaule... QUOTE Mme Fontaine a par conséquent souhaité aller "vers un partage réaliste et équilibré des responsabilités de chacune des parties". Cela doit se traduire : Au niveau des fournisseurs d’accès, par des signalements des contenus douteux, l’approfondissement du filtrage et la rédaction d’une charte "précisant les suites données aux signalements faits par les internautes". En ce domaine, la coopération européenne sera fondamentale ; Au niveau des familles : l’accès facilité à des logiciels de filtrages, l’encouragement de la recherche, notamment. Yeah ! C'est reparti comme en '42 ! Au passage on se fait pas chier, on économise du flic. Plus utile à surveiller les cages d'escalier. Et pour finir, rions un peu : http://news.bbc.co.uk/1/hi/technology/3501336.stmOn dirait un des anges de l'apocalypse, non ? Avec sa trompette... "The robot has yet to be given a cute name" - à vos plumes, les amis !
Ce message a été modifié par bonatoc - mer. 31 mars 2004, 04:17.
--------------------
|
|
|
|
|
mer. 31 mars 2004, 04:23
|
Maniac Member
Groupe : Members
Messages : 929
Inscrit : 10 août 03
Lieu : Versailles - FR
Membre no 22,760
|
QUOTE En s'attaquant aux universités, la RIAA retourne aux sources du peer-to-peer. C'est en effet sur ces réseaux, très tôt équipés de connexions haut débit, que les premiers échanges ont été réalisés sur Napster, faisant très vite de ce logiciel pionnier un phénomène de société.
Les directeurs des universités concernées n'ont pas tous réagi. Mais la plupart se disent prêts à collaborer. C'est pas avec le fromage blanc qu'ont les djeunz WASP à la place du cerveau qu'on va les voir battre le pavé. 'Peut toujours se gargariser sur Cuba, ou la défense de sa prétendue civilisation occidentale, l'amérique... fucking dictature. Tiens ça faisait longtemps qu'on avait pas fait de l'americana-bashing ! Et c'est là qu'on voit le vide sidéral laissé par les Clash et les autres groupes d'enragés engagés. Vous les voyez les fils à Papa des groupes à cheveux faussement sales et jean déchirés à 1500 brouettes d'MTV prendre la défense de la liberté d'expression ? 'Peuvent mettre tous les kilos de disto qu'ils veulent au cul de leurs SG custom, ils resteront des clowns.
Ce message a été modifié par bonatoc - mer. 31 mars 2004, 04:27.
--------------------
|
|
|
|
|
|
1 utilisateur(s) sur ce sujet (1 invité(s) et 0 utilisateur(s) anonyme(s))
0 membre(s) :
|
|
|