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Creativ Commons Et Sacem, les deux à la fois je veux ! |
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mer. 23 août 2006, 21:09
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La madame est partie.
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QUOTE (lionel2p @ mer 23 aoû 2006, 20:57) QUOTE (Miss Kiki @ mer 23 aoû 2006, 16:31) Un blog avec pétition bien sûr ! Je te sens peu convaincue voire moqueuse Serait-ce un mauvais tour de mes neurones paranoïdes ? Baaaah no, et puis alors si tu deviens paranoiaque avec moi tu n'es pas sorti de l'auberge ! lol ! Bon, en parlant de blog tiens on pourrait passer par celui de la sacemlist il a une très bonne visibilité et ça pourrait aussi motiver des participant de la liste dont son créateur ...
Ce message a été modifié par Miss Kiki - mer. 23 août 2006, 21:14.
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La Miss est partie sur Second Life et se prélasse sur du sable fin, entourée de créatures de rêves dans une végétation luxuriante... enfin une retraite bien méritée !!!
Yodelhihoo. ;-)
NB : ne laissez pas de messages dans ma bal, je n'y suis plus...
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mar. 29 août 2006, 10:06
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Hello
idées :
1 / à l'image du ticket modérateur, ne faire payer aux auto-prods que les charges Sacem, puisque l'argent reversé à l'auteur (aussi producteur) est l'argent payé par le producteur (aussi auteur) 6 mois avant, moins ces fameuses charges. Rappel : ces charges se justifient difficilement, mais elles se justifient quand même : service de protection, service juridique, gestion solidaire, etc.
2 / Retarder cette perception de charges de 1 ou 2 répartitions (soit un délai de 3 à 6 mois), et jusqu'à un plafond à déterminer, l'imputer sur les répartitions (quitte à avoir un compte débiteur) au lieu de demander du vrai argent.
3 / Étendre la notion d'auto-promotion à la vente sans marge
Mais, questions :
1 / Comment définir l'auto-production ? Pas de numéro de Siret ? Pas d'inscrition aux registres du commerces ? Pas d'éditeurs ? Un volume faible de fabrication ? Pas facile...
2 / Quels peuvent être les abus ? (il y en aura toujours, il faut les anticiper)
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« La vitesse de la lumière étant supérieure à celle du son, beaucoup de gens sont brillants jusqu'à ce qu'ils ouvrent leur gueule » G. Brassens
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jeu. 31 août 2006, 10:26
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Grognon à l'essai
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QUOTE (fypy @ mar 29 aoû 2006, 11:06) Hello
idées :
1 / à l'image du ticket modérateur, ne faire payer aux auto-prods que les charges Sacem, puisque l'argent reversé à l'auteur (aussi producteur) est l'argent payé par le producteur (aussi auteur) 6 mois avant, moins ces fameuses charges. Rappel : ces charges se justifient difficilement, mais elles se justifient quand même : service de protection, service juridique, gestion solidaire, etc.
2 / Retarder cette perception de charges de 1 ou 2 répartitions (soit un délai de 3 à 6 mois), et jusqu'à un plafond à déterminer, l'imputer sur les répartitions (quitte à avoir un compte débiteur) au lieu de demander du vrai argent.
3 / Étendre la notion d'auto-promotion à la vente sans marge
Mais, questions :
1 / Comment définir l'auto-production ? Pas de numéro de Siret ? Pas d'inscrition aux registres du commerces ? Pas d'éditeurs ? Un volume faible de fabrication ? Pas facile...
2 / Quels peuvent être les abus ? (il y en aura toujours, il faut les anticiper) Je lis avec intérêt ce fil, je participe peu parceque je suis vraiment un tout petit amateur, mais c'est vrai que la DRM à anticiper ça en décourage plus d'un. Si je ne suis pas encore inscrit à la SACEM c'est à cause de ça. Les propositions de Fypy me semblent sensées. Pour pouvoir définire l'autoprod ce serait intéréssant de savoir quels sont les critère pour que la DRM soit payée sur le vendu et pas sur les exemplaires préssés; il y a peut être là un début de définition. Non? J'ai dit une betise?
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Serendipity Moi, le wiki de MM c'est deux fois par jour après les repas. Et vous?Power Mac 2x1.8 2GB - Motu 828 Mk II - Logic Express 7 - Tapco S5
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jeu. 31 août 2006, 11:00
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La madame est partie.
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QUOTE (fypy @ mar 29 aoû 2006, 11:06) Hello
idées :
1 / à l'image du ticket modérateur, ne faire payer aux auto-prods que les charges Sacem, puisque l'argent reversé à l'auteur (aussi producteur) est l'argent payé par le producteur (aussi auteur) 6 mois avant, moins ces fameuses charges. Rappel : ces charges se justifient difficilement, mais elles se justifient quand même : service de protection, service juridique, gestion solidaire, etc.
2 / Retarder cette perception de charges de 1 ou 2 répartitions (soit un délai de 3 à 6 mois), et jusqu'à un plafond à déterminer, l'imputer sur les répartitions (quitte à avoir un compte débiteur) au lieu de demander du vrai argent.
3 / Étendre la notion d'auto-promotion à la vente sans marge
Mais, questions :
1 / Comment définir l'auto-production ? Pas de numéro de Siret ? Pas d'inscrition aux registres du commerces ? Pas d'éditeurs ? Un volume faible de fabrication ? Pas facile...
2 / Quels peuvent être les abus ? (il y en aura toujours, il faut les anticiper) Je voulais proposer quasi la même chose : Paiement des charges uniquement. Ou alors remboursement des droits pleins pots dans les trois mois maxi. l'auto production se définit très simplement : L'auteur-compositeur est aussi le producteur, c'est une même personne physique. Le volume est de 500 ex . Pas de discrimination de statuts, quand on travaille en indépendant par exemple on a un siret et une inscription au RC, ça ne doit pas empêcher de pouvoir produire en auto-production sur faible volume. Pour limiter les abus limiter à une seule sortie à l'année des 500ex.
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jeu. 31 août 2006, 13:54
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QUOTE (Miss Kiki @ jeu 31 aoû 2006, 12:00) Je voulais proposer quasi la même chose :
Paiement des charges uniquement. Ou alors remboursement des droits pleins pots dans les trois mois maxi. Pour les 3 mois, ça me semble difficile, vu que, malgré le fait qu'il y ait 4 répartitions par an, elles ne répartissent pas la même chose, et je crois que c'est statutaire. 6 mois est le minimum généralement admis entre une perception et une répartition. Il me semble, de mémoire, que les drm (droits de reproduction mécanique, pas digital right management !) sont plutôt sur les répartitions d'avril et d'octobre. À vérifier. Quant au remboursement plein pot, comme je l'ai dit, et bien que je sache que c'est un peu dur à avaler, il faut essayer de comprendre que c'est impossible. Adhérer à la Sacem est aussi, quoi qu'on en dise, adhérer à un esprit collectif dont un des principes les plus forts est la mutualisation des coûts, ou "gestion solidaire". Ce qu'on appelle frais de gestion recouvre bien des choses, des plus saines (aide sociale, aide juridique, etc) aux plus malheureuses (gestion dispendieuse, lourdeur administrative, abus divers). Ainsi, la perception de ces frais n'est pas l'exact reflet des dépenses occasionnées par le traitement du dossier. Un peu comme les cotisations d'assurance, quoi.
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lun. 4 sept. 2006, 16:58
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Bonjour à tous, et bravo pour la construction progressive de ce débat. :-)
Mais j'ai l'impression que l'idée de départ de ce fil, à savoir la mise à disposition de fichiers téléchargeables sous licence Creativ ou autre, s'est un peu perdue en route. Il me paraît indispensable d'arriver à faire cohabiter la baisse des charges sur l'autoproduction d'un CD avec son équivalent pour le téléchargement sur internet. Parce qu'il y a aujourd'hui un public pour ça, qui veut donner à manger à son iPod, qui est prêt à payer pour ça, et qui est probablement autant prêt à télécharger sur un site style Music Store que sur une plateforme de téléchargement qui regroupe des musiciens auto-produits. J'ose donc l'idée : pourquoi la Sacem ne monterait-elle pas un portail de téléchargement payant des oeuvres auto-produites de ses sociétaires ? Si elle est déjà sur le chemin d'accorder un statut particulier à l'autoprod, les oeuvres en question seront dûment référencées comme telles. Par ailleurs elle a déjà une compta sociétaires, ainsi qu'une une compta clients. De quoi imaginer imaginer des économies substentielles sur les frais de fonctionnement, et de fait envisager qu'un album téléchargé puisse coûter moins cher qu'une promo Fnac.
Cela dit cette idée pose la problèmatique de la vente par la Sacem d'autre chose que des droits d'auteur, puisqu'un morceau, même sous forme de fichier, est un "produit manufacturé", et pas seulement une "oeuvre de l'esprit". Il y a peut-être une astuce à trouver du côté des droits voisins, mais je maîtrise mal le sujet...
Se repose aussi la question du statut "commercial" du musicien qui s'autoproduit : comment redistribuer une partie des sommes générées à d'éventuels interprètes ? Ou encore au studio qui a fait cadeau de deux ou trois nuits d'enregistrement ?
Yan
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Dans quel DD j'erre... Un peu par là.
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mar. 5 sept. 2006, 10:18
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Salut,
Je vous lis aussi avec intérêt. Deux ou trois détails en passant...
Sur le coût incontournable de la gestion collective mentionné par François : il est indiscutable, mais pourquoi ne pas modifier la répartition de sa charge pour la faire peser plus sur les "gros" et moins, sinon pas du tout, sur les petits ? C'est peut-être déjà le cas ?
Sur le "produit manufacturé" de Yan : lorsqu'on vend un disque, cela fait un disque en moins à vendre qu'il a fallu fabriquer et payer. Lorsqu'on vend un fichier téléchargé, le coût réel de sa distribution est si faible qu'il est négligeable. Sa valeur de "produit manufacturé" est artificielle, elle n'est "plaquée" que pour permettre à l'auteur de toucher ses droits et à la Sacem de continuer d'exister sans évoluer.
Sur l'affaire du site Universal : plus de chichis, la musique distribuée y a une valeur de zéro, la seule valeur est celle ajoutée par la pub. Le procédé fait frémir, laisse l'auteur sur le carreau et marque un tel degré de manque de respect que même connaissant les majors, ça surprend encore.
Malgré tout, ça doit faire réfléchir : Universal a compris que le fichier téléchargé ne pourra pas indéfiniment être déguisé en produit manufacturé à valeur artificielle, et prend des dispositions pour ajouter de la valeur d'une manière différente.
Faut-il s'en inspirer ? Par la pub, peut-être (il y en a ici aussi...), par le service, en tout cas, sûrement. Et quel meilleur service que la promotion de la musique s'appuyant sur une gestion collective des moyens ?
Notez que les "valeurs" mentionnées ci-dessus ne concernent que celle du "produit" distribué et non du contenu, autrement dit elles ne tiennent pas compte de l'amortissement des coûts de production. Mais c'est également le cas dans le modèle ancien du disque, non ?
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