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Plugin De Mastering Pour Protools |
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lun. 15 juil. 2013, 01:52
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Groupe : Members
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Inscrit : 05 mars 02
Lieu : Geneve - CH
Membre no 3,714
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On ne dira quand même jamais assez que le mastering c'est une affaire de "masteruiseur" et non pas de macmusiciens, ni même d'ingé sons.
Le mastering c'est, pourquoi pas, entre autres quelques plus gins, mais c'est surtout et avant tout, un savoir faire précis, des connaissances techniques avancées, une pièce conçue à cet effet, des écoutes que même 50 ans de pub sur Mac Music ne suffisent pas à payer. Une méthode développée lentement, une culture sonore......
Ca n'a rien mais alors RIEN à avoir avec le mix, qu'on se le dise. Après bien sur, si c'est juste pour booster un peu la sortie de mix, hop, un coup de L2 et elle est belle, mais c'est tout !
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mar. 16 juil. 2013, 12:14
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Rookie
Groupe : Members
Messages : 31
Inscrit : 15 oct. 02
Lieu : Le Merlerault - FR
Membre no 8,484
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Citation (benji @ lun. 15 juil. 2013, 02:52) On ne dira quand même jamais assez que le mastering c'est une affaire de "masteruiseur" et non pas de macmusiciens, ni même d'ingé sons.
Le mastering c'est, pourquoi pas, entre autres quelques plus gins, mais c'est surtout et avant tout, un savoir faire précis, des connaissances techniques avancées, une pièce conçue à cet effet, des écoutes que même 50 ans de pub sur Mac Music ne suffisent pas à payer. Une méthode développée lentement, une culture sonore......
Ca n'a rien mais alors RIEN à avoir avec le mix, qu'on se le dise. Après bien sur, si c'est juste pour booster un peu la sortie de mix, hop, un coup de L2 et elle est belle, mais c'est tout ! Je suis d'accord mais ça, c'est valable quand on a les moyens de se payer un vrai masteriser. Masteriser, c'est d'abord trouver la meilleure couleur possible puis, surtout, homogénéiser et appliquer celle-ci à un ensemble de titres en général mixés indépendamment les uns des autres… C'est, effectivement, un travail de spécialiste et il n'y a pas de formation préparant à ce métier rare. Quand on n’a pas les moyens, la moins mauvaise méthode semble être celle de mixer avec une réserve de niveau (bien en dessous du trop fameux -0,2 dBFS en mode QPPM) Puis de faire une nouvelle Session ou un nouveau Projet uniquement consacré au mastering avec juste des plug-ins de filtre, EQ parametriques, compresseur multibande et limiteur. (maitriser un compresseur multibandes demande cependant un savoir-faire certain !) En musique, la tendance naissante est d'utiliser, comme pour les mixages AV des limiteurs aux nouvelles normes en dBTB (True Peak - on trouve maintenant des plug-ins dont les algorithmes permettent enfin de les insérer en temps réel). PS : ni le mixage, ni le mastering ne peuvent vraiment améliorer les choses ! La méthode, qu'on enregistre des vrais musiciens ou sur un projet à base de samples, est toujours de faire une sortie (ou un bounce) dite « monitoring mix » qui va être l'exacte balance statique de ce qu'on écoute au moment de l'enregistrement, sans toucher aux niveaux du monitoring. Ce rough mixage va servir de témoin ou de comparaison au moment du mixage et du mastering. Il arrive quelques fois que le mixage soit régressif par rapport au rough mixage, c'est donc une bonne méthode pour le savoir
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