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Hadopi au tapis ?, news |
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jeu. 30 avril 2009, 08:16
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SuperHero
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Citation (karlos @ jeu 30 avr 2009, 00:27) Hey m'sieur comme j'étais trop jeune pour connaître les trente glorieuses, ben contrairement a toi j'ai pas encore eut l'occase de croquer à la pomme du lobby corporatiste, tu comprend j'ai les crocs, donc si je te sort mon CV histoire que tu vérifies mon pédigré, tu pourrais m'éclairer de ta lumière pour m'expliquer comment rêver d'harmonie et d'art de vivre? Parceque pour l'instant la cadillac rose je la vois pas, même pas en rêve... " here and now " les trentes glorieuses ont vécu et certains se sont gavé d'autres non , chacun avait un destin différent.L'argent et la musique n'ont jamais au cours de l'histoire connu une telle situation , des fortunes colossales ont été baties donnant une vision idyllique ou infernale de la vie d'artiste . avec son cortège de frustrés et d'aigris.Alors , vu que tu confères à mon àge , l'expérience et la sagesse d'émettre un avis , je dirais qu'en tant qu'humain j'assume la totalité de mes choix ,celui de ne pas faire de la musique un métier en a été un ( manque d'ambition, de courage , de travail ) , préférant jouir de la musique en tant qu'art de vivre et harmonie , ce qui n'exclue pas le travail de l'instrument.Tu me demandes comment rêver d'harmonie et d'art de vivre , je suis Moi donc je n'ai pas Ta réponse. Les exemples que cite PureStyle, ont été des malheureux qui ont crié leur souffrance, comme d'autres chantent l'ivresse de leur éphémère bonheur. Parmi les nombreux intervenants de ce thread, il y en a qui souffre vraiment de cette crise , je leur dis courage et confiance en vos choix , aux autres il y a le 1° mai comme exutoire pour crier vos frustrations. art de vivre et harmonie ==> " here and now " vieil adage Indo-baba sexagénaire
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Les ordinateurs sont inutiles, ils ne donnent que des réponses. - Pablo Picasso
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jeu. 30 avril 2009, 09:02
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Citation (Franerik @ mer 29 avr 2009, 12:49) La license globale : qui prouve que seul les gros toucheront? Les mêmes qui se sont approprié les revenus des diverses taxes sur les supports qui sont les multinationales du disques et sociétés de droits depuis des années qui ont fait des répartitions à la hussarde au profits des plus gros... Bonjour, c'est intéressant, Franerik, tu avances une vérité ou un point de vue ? Quand tu parles de ceux qui se sont "approprié" les revenus des taxes sur les supports , tu fais une charge contre le sociétés civiles de Droits Voisins, c'est bien ça ? Tu connais parfaitement les montants collectés et répartis entre ces différentes Sociétés Civiles, au niveau Artistes, Producteurs ? Tu te bases sur quels éléments pour avancer ce que tu assènes ? Connais-tu le volet de l'action sociale de l' Adami, la Spedidam, la SCPP, la SPPF, comment les sommes sont réparties ? Sur quelles bases ? La différence entre Droit de Tirage et Aide Sélective ? Quel sont les réversion faites à d'autres organismes, type FCM ou Bureau de l' Export ? Enfin tu sembles bien maîtriser les mécaniques de répartition des Droits Voisins, qui seraient "détournés" par les méchantes multinationales du disques, là encore, c'est un point de vue, un ressentit, une vérité ou bine tu as de schiffres, des preuves ... parce que figure-toi qu'en tant que Sociétaire de la plupart de ces organismes, ça m'intéresse .... Tu sembles avoir étudié la Licence Globale, j'aimerais beaucoup avoir ton avis sur la pertinence de ce mode gestion, par rapport à une gestion OPO et des accords spécifiques. Sur Hadopi, que tu sembles connaître parfaitement, j'ai bien compris que tu étais choqué par le volet répressif, mais quelle est ta position sur la réduction du délai de publication des films en Dvd, (Chapitre 4 de la Loi, articles 30-4 et suivants), et enfin l' Article 6 te choques, ce n'est pas toi qui si souvent émettait de critiques et de remontrances à l'égard de nous, Français, soi-disant si peu civique et friand de la "fraude à l'assurance" et autre noms d'oiseau ? Respectueusement. O.
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----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- O. Pas de droits...pas de chocolat !
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jeu. 30 avril 2009, 10:36
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Point de vue Création et Internet, par Patrick Zelnik et Rémi Bouton LE MONDE | 27.04.09 | 13h56 • Mis à jour le 27.04.09 | 13h56
 Etrange et effrayante, cette controverse sur la loi Création et Internet complètement déconnectée de la crise économique mondiale. Au moment précis où la droite et la gauche, ensemble, dénoncent l'ultralibéralisme et la déréglementation, et préconisent d'une même voix la régulation du marché, certains intellectuels (de gauche ?), économistes, politiciens s'acharnent contre le projet de loi, qu'ils qualifient de répressif et liberticide. Effrayante, cette démagogie ignore en bloc le fonctionnement de l'économie de la musique, le système de rémunération des auteurs et des artistes, ou la problématique d'investissement des éditeurs et des producteurs. Une attitude libérale consisterait à laisser faire le marché : à laisser s'écrouler le tissu de producteurs, de managers, d'éditeurs - indépendants ou majors - en espérant que des "business models" émergent sur les ruines et qu'en attendant, auteurs et artistes interprètes puissent vivre de leurs économies... Une attitude responsable consiste à soutenir ce projet de loi en tant que première étape nécessaire à la construction d'une politique culturelle numérique audacieuse. Que la France se déchire autour d'un texte de loi, sous l'oeil intéressé des nations du monde entier, qui cherchent elles aussi une réponse à cette révolution numérique, pourrait avoir un avantage : celui de construire le débat. Malheureusement celui-ci se limite à quelques préjugés anti-show-business en ignorant - ou feignant d'ignorer - les métiers de la musique et du cinéma. Les entrepreneurs culturels, qui investissent leur capital personnel et prennent des risques ne pourront survivre sans un retour sur investissement. Le risque est la justification morale du profit, le contraire de l'argent facile. Les internautes se trompent de cible : ce sont les "tuyaux" qui s'enrichissent, aux dépens des artistes et des producteurs. La régulation du Net est incontournable, sauf à considérer que tout produit qui peut se numériser, se copier et s'échanger deviendrait de fait gratuit. Au-delà de la musique et du cinéma, les services par abonnement des télévisions payantes ou de vidéos à la demande disparaîtraient également. Personne ne souhaiterait aujourd'hui revenir au temps où les voitures pouvaient traverser les villages à 100 à l'heure et où les passants n'avaient qu'à se pousser. Pourtant, à l'époque, la voiture était le symbole de la liberté. Il en est de même aujourd'hui d'Internet. Il faudra du temps, nous en sommes conscients, pour trouver un consensus sociétal sur la musique comme il en a fallu sur les comportements routiers. Mais il est urgent d'agir pour la musique et le cinéma. Les détracteurs de la loi l'ont caricaturée grossièrement. Elle est pédagogique, préventive et dissuasive. Elle est nécessaire et vitale, car elle fera comprendre au public qu'il ne faut pas mettre à la disposition de tous des oeuvres que l'on n'a pas soi-même créées, au risque de ruiner leurs auteurs et tous ceux qui sont intervenus sur leur création. Ces 1 001 métiers de la musique méritent salaire ! Une fois la loi votée, il sera plus que temps de construire les nouvelles bases des industries culturelles en France et en Europe en organisant dans six mois des Etats généraux de la création pour aborder sans tabou les questions laissées en suspens par la loi, notamment le financement de la création et de la production. Ce sera aussi l'occasion de dresser un premier bilan de son efficacité et d'éventuels effets pervers, d'ordre éthique notamment. La licence globale telle qu'elle était conçue était légitime dans son principe, mais inapplicable et injuste. Elle aurait déterminé une fois pour toutes le prix de la musique en fonction d'un abonnement à Internet. Mais cette licence trop globale, qui était sortie par la porte, revient en force - par la fenêtre, sous forme de licences bilatérales conclues entre les majors et les fournisseurs d'accès. Ces accords sont la réplique exacte de la licence globale, car ils prévoient une rémunération forfaitaire pour l'utilisation des contenus. Il est impératif que les artistes et les indépendants puissent bénéficier automatiquement desdits accords bilatéraux actuellement négociés par les majors. Un droit de licence serait incorporé aux droits d'auteur et aux droits voisins (droits des producteurs). Les artistes et les producteurs s'approprieraient ainsi le droit d'utilisation de leur création sur Internet. Un tel mécanisme permettrait d'assurer l'égalité des chances entre les majors et les indépendants, atténuant ainsi les effets de la concentration sur le Net. La reprise du marché suppose en effet l'existence et le développement, à côté des grands groupes de communication, d'un tissu de petites et moyennes entreprises culturelles indépendantes - acteurs incontournables de la diversité. Le financement du droit de licence serait assuré par les FAI (fournisseurs d'accès à Internet), en prenant garde qu'il ne soit pas répercuté sur les internautes. Quant à son prix, il ferait l'objet d'une négociation entre les FAI, les producteurs et les artistes. Mais faute d'arbitrage des pouvoirs publics, les fournisseurs d'accès s'opposeront à toute nouvelle contribution financière s'ajoutant à la nouvelle taxe destinée à financer l'audiovisuel public (pour compenser la réduction des recettes publicitaires des chaînes publiques). Comment sortir de cette impasse ? Existe-t-il un modèle "gagnant-gagnant" qui puisse satisfaire à la fois les fournisseurs d'accès, les opérateurs mobiles et les producteurs de contenus ? En 1985, la filière musicale a su créer le consensus qui lui a permis de prospérer pendant vingt ans. A propos, Jack Lang est favorable à la loi Création et Internet... 
Patrick Zelnik est PDG de la maison de disques Naïve ; Rémi Bouton est responsable de Pro-Music France. Article paru dans l'édition du 28.04.09
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Mac Pro Xeon 2,66 (12 Go Ram) / Mac OS 10.6.5 / Logic Pro 9.1.3 / Tascam FW 1884 + FE-8 / 2 UAD-2 Duo (la totale en plugs) / Kore & Guitar Rig hard / CME UF-8
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jeu. 30 avril 2009, 10:39
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Hero
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L'analyse d'Attali n'est ni fausse ni vrai, suffit de relire ici quelques arguments avancé notament par Marsu pour voir que la mise ne place de cette license sera rapidement aux mains de quelques pirates et lobby (d'ailleurs Attali le dit lui-même), et surtout extrêmement difficile à mettre en place. De plus lorsqu'Attali dit que l'info doit être gratuite, certes, mais la création n'est pas de l'information, ou alors si nous poussons la logique plus loin les peintres devraient donner leur tableau, comme les musicien des mp3, puis reçevoir un salaire issue d'une taxe collective (car ne nous leurrons pas, si les FAI doivent mettre la main à la poche, cela se répecutera mécaniquement sur le prix des abonnements = totalement injuste pour le Rmiste honnête qui ne télécharge pas), perspective tres "kolkhozienne" où personne ne sortira du lôt, les bon et les mauvais gentiment applanit dans un système fonctionnarial. Je l'ai déjà dit et je le répète, l'avantage d'Hadopi à cause du flicage, inhérent a internet (Google, FAI, pirates etc...), est que cette forme de code de conduite tel un code de la route, permet de ressituer l'oeuvre en tant que valeur (depuis la nuit des temps les artistes sont rétribué dans un système régulé par le troc...) , ce qui symboliquement est très important, une oeuvre sans valeur marchande, n'a malheureusement pas de valeur tout court dans ce monde où le fric reste la norme. Les marchands d'Art l'on bien compris, un tableau/installation sous-estimé financièrement sera mécaniquement sous-estimé artistiquement. Or un système qui sous-estime la valeur des artistes au point de laisser à leur encontre une forme de gratuité (m^me si légèrement taxé, cela n'est pas palpable pour le quidam, tout au plus une injustice de plus qui oblige à encore mettre la main a la poche) c'est la porte ouverte au sentiment d'inutilité de la création pour la société, et surtout qu'il n'y a plus de distinction visible entre l'imposteur et le bon puisque tous seront salarié de l'internaute, donc potentiellement parasite du système, donc potentiellement sans mérite, donc potentiellement "concurrenceable" par n'importe qui : "Picasso c'est facile mon gamin fait aussi bien"... Skawiwen heureux d'apprendre que : Citation je dirais qu'en tant qu'humain j'assume la totalité de mes choix ,celui de ne pas faire de la musique un métier Edit : Zelnik résume parfaitement la situation, et Naïve c'est pas "la pire des majors", plutôt "un gros indépendant". Et Jack Lang quoiqu'on en dise a fait eaucoup plus pour la creation que n'importe quel autre minstre de la culture.
Ce message a été modifié par karlos - jeu. 30 avril 2009, 10:50.
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jeu. 30 avril 2009, 11:12
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Ned Teach
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Karlos, j'apprécie beaucoup ton analyse dont je ne ferai aucun quote réducteur. Redonner de la valeur à l'œuvre artistique, voilà une cause qui mérite d'être défendue, surtout quand on est amoureux de la musique.
Quant à la question du manque à gagner, chère à Skawi, ce n'est pas avec ce que je fais que je vais gagner grand chose même si je vais enfin sortir un album autoproduit d'ici peu, mais j'ai tout à perdre avec la dissolution des droits d'auteurs dans cette orgie libertaire. Le marché va s'atomiser encore plus et nous allons avoir un mal de chien à choisir car ce que font les labels grands et petits, c'est de faire des premiers choix qui écrèment et font émerger quand même la qualité dans cet océan de nullité. Je me suis noyé dans des listes interminables de gens qui se croient artistes, supplient qu'on les regarde, qu'on les écoute, jusqu'à la nausée.
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jeu. 30 avril 2009, 11:25
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SuperHero
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Brian, je n'ai pas parlé de toi... Par contre je connais personnellement nombre de journalistes, gens des médias, en France comme dans d'autres pays, qui n'achètent pour ainsi dire rien, pas seulement de la musique (le problème existe dans la mode, la gastronomie, l'automobile, l'électronique, etc...), voient les films en salles privées, qui d'ailleurs en seraient privés s'ils disaient vraiment ce qu'ils pensent de nombre de films qu'ils y voient, qui d'ailleurs refusent de parler de quelque chose auquel ils ne seraient pas invité, auraient reçu le produit gratuitement, en aurait profité à titre personnel... Par contre, je connais aussi personnellement d'autres journalistes qui vont voir les films en salles, en payant leurs places, bien sûr défrayés par leur journal, qui eux sont libres de leurs écrits. C'est de cela que je parlais, non pas de toi, il ne faut pas te prendre pour le nombril du monde! Indispensable? Oui, à partir du moment où on accepte de se laisser dicter l'agenda par les producteurs de ces multinationales, pouvoirs politiques qui vous font vivre... La collusion, même si elle est souvent exagérée par le public a été trop forte pour qu'il vous fasse confiance, surtout en période de crise. Je conteste que cette critique soit générale, tout comme celle que vous instruisez contre les jeunes, le public, mais ce n'est certainement en le méprisant que vous arriverez à le reconquérir, pour peu que vous ayez perdu leur porte monnaie!
Pour ce qui est de squatter chez moi, Brian, tu serais bien étonné de la manière dont je vis, certainement plus ascète que toi et tu repartirais bien vite chez toi, dans ta pollution addictive!
Concernant les allusion aux comptes en Suisse, je ne suis pas Suisse, ni exilé en Suisse, que la grande majorité des Suisses paient bien plus d'impôts que vous ne croyez, ne croulent pas sous les lingots, vous critiquez les clichés de vos contradicteurs, mais si vous vous rendiez compte de ceux que vous proférez, sans parler de la connotation particulièrement négative que vous y attribuez : planqué en Suisse, fraudeur du fisc, rentier d'on ne sait quel prébende... Toujours la même méthode disqualifier le contradicteur, là carrément par des arguments limites : étranger, ayant fui à l'étranger pour ne payer ses impôts, on est pas loin du cosmopolite! J'ai la double nationalité suédoise et française, je pourrais avec un peu d'effort acquérir la hollandaise de par mes ascendances paternelles, je suis fier d'être cosmopolite, mélangé, de m'être marié à une vietnamienne, d'avoir fait une fille encore plus mélangée, avoir des amis, des vrais, pas des "my space" "facebook", un peu partout dans le monde, alors la défense du pré carré, ce n'est effectivement pas ma tasse de thé, concernant les revenus d'ailleurs, ce n'est pas de gaieté de cœur que j'ai travaillé dans la finance, c'est le hasard des possibilités professionnelles qui m'y a conduit pour nourrir ma famille à mon retour, bien involontaire, c'est plus qu'un euphémisme, en France en 1980. J'ai rencontré des gens corrompus, faux, mais pas autant que dans le showbiz français, au moins ils n'avaient pas un alibi culturel, ne faisaient pas de grande déclaration, même s'ils ont un langage codifié comme tout milieu...
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LE PRINTEMPS DES AMOUREUXVIVE LA LUMIÈRENe perdez pas votre vie à la gagner, ne vous prenez pas au sérieux, d'autres le feront bien mieux pour vous !EN VACANCES DÉFINITIVES DE MAC MUSIC POUR DÉFAUT DE LANGUE DE BOIS
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jeu. 30 avril 2009, 12:03
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Citation la loi Hadopi c'est comme les droits de l'homme on va avoir du mal à l'exporter , ce sera un effet d'annonce avec quelques quidam pris au hasard pour faire un beau reportage sur TF1A2 , cliquetis de menottes et les enfants qui pleurent devant l'internet sur off , vu le cout de l'opération ça va faire 3 mois et sera rangé aux oubliettes dès qu'une bagnole cramera en banlieux , sorry les gars de vous casser le beau rêve ,mais va falloir trouver autre chose , tout ça c'est de la pipe de la com et du vent. skawiwen, merci, c'est exactement ce que je pense !!! Moi , je ne suis pas un musicien qui gagne sa croute avec sa musique, et je suis un de ceux qui ne piratent pas la musique. J'achète juste des CD quand ils me font envie (pas de mp3 : je refuse d'acheter du compressé au prix du non-compressé). Je ne crains pas , donc, que l' HADOPI me coupe le robinet du Web (ni le robiweb du Net), mais ça ne me parait surtout être une bonne excuse pour s'arroger le droit et les moyens techniques d'espionner encore plus tout le monde en toute impunité.
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Quand le sage montre la lune, l'imbécile invente un proverbe chinois
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jeu. 30 avril 2009, 12:57
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Oui enfin je prefère être surveillé par un état de droit démocratique qui tente d'endiguer la cyber-criminalité sous toute ses formes : des pires (terrorisme, reseaux de traffic humain etc...), aux moins pires (piratage de soft, de divx et de mp3). Plutôt que de me retrouver, comme c'est le cas dans la situation actuelle, potentiellement surveillé par n'importe quel hackers et spammeurs anonymes, aux intentions diverses (souvent peux avouable) et issues de zones geographiques inconnus, et cela en toute impunité.
On est quand même tous bien content d'être "surveillé" dans une démocratie afin que les fraudeurs ne se fassent pas les c... en or au détriment des autres. Il y a quand m^me encore une marge entre une dictature et la France, et cela malgré toute les thèses conspirationnistes très à la mode sur le Web, qui nous annonce m^me l'Apocalypse en 2012....
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