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Parolier Chrechant Musicien |
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jeu. 20 déc. 2007, 01:20
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QUOTE (stef-II @ mer 19 déc 2007, 19:00) Je tiens a m'excuser pour toutes les fautes que j'ai commis lors de ma présentation, j'en suis vraiment navré..
Sachez que pour certains que j'utilise des dictionnaires, des logiciels exprès pour corriger mes fautes...
Mes fautes ont été commise a cause de la vitesse de l'éciture sur le clavier, pour ceux qui veulent connaitre mes textes ont juste a prendre mon adresse e-mail et me les demander. Veuillez excuser mes fautes !!!! Tu n'as pas t'excuser de tes fautes puisque c'est à toi que ça fait du tort étant donné que tu veux être parolier, pas à nous. Les dictionnaires et surtout les logiciles ne peuvent pas corriger toutes les fautes comme le prouve le texte que tu as imparfaitement corrigé. La seule solution c'est de lire ! tout ce qui te tombe sous la main,:journaux, contes pour enfants, poèmes... et regarder comment c'est foutu Les grands chanteurs Brassens, Gainsbourg,,, ont chanté les grands poètes parce qu'ils les avaient lus et relus, malgrè tout leur talent, ce n'est pas venu tout seul Les musiciens qui sont ici et qui "vivent" de la musique, ils en ont écouté des tonnes de musique , copié, recopié la musique des grands, pris des cours d'écriture etc et pour finir le quart d'heure culturel : (Ca vous fera du bien, bande de sauvages! ) Une chanson de Gainsbourg à partir d'un poème de Beaudelaire: ( J'y vais...) "Le serpent qui danse" (Huummm.....Hummmm) Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux, où rien ne se révèle De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêle L'or avec le fer. A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui danse Au bout d'un bâton. Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D'un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de Bohême, Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème D'étoiles mon coeur !
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"J’ai une douleur je ne sais où, Née de je ne sais quoi, J’en guérirai je ne sais quand, Si me soigne je ne sais qui." Chant flamenco (Anonyme)
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jeu. 20 déc. 2007, 12:06
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QUOTE stef-II : je vis dans les chansons, dans les textes et sur les musiques car sans parole et musique sa ne donnerait rien C'est sur qu'une chanson sans parole ni musique, c'est beaucoup moins bien. C'est comme un couteau sans manche auquel il manque la lame. Bon , bientôt noel, je vais aller mixer mon foie gras dans du champagne, ça peut pas être mauvais, c'est rien que des bons produits. QUOTE Je te jure que j'ai déjà vu des softs d'écriture automatique de scénario ! Tu décides d'une dizaine de paramètres, prénoms des personnages, lieux, genre et pof ! ce machin te ch*e un scénar' ! (amerloque en diable, cela va sans dire). J'étais absourdi. Moi qui étais certain que les téléfilms américains sont déjà tous écrits avec ça ! Je suis rassuré pour l"avenir, on ne devrait y voir aucune différence.
Ce message a été modifié par jrozen - jeu. 20 déc. 2007, 12:13.
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Quand le sage montre la lune, l'imbécile invente un proverbe chinois
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