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La Musique Contemporaine, Combien De Divisions ?, "petits" rappels. |
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dim. 2 déc. 2007, 11:35
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Maniac Member
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Article publié le 01 Novembre 2007 Par Clarisse Fabre Source : LE MONDE Extrait : Mme Albanel rappellera à M. Sarkozy ses promesses en faveur du patrimoine. La culture va se serrer la ceinture. Un gel de « 6 % des crédits » est annoncé, « plus important que celui de l'an dernier », a déclaré la ministre de la culture et de la communication, Christine Albanel, mardi 30 octobre, lors de son audition devant les députés. Mme Albanel l'a admis : le budget 2008 de la culture est « un budget contraint, d'austérité ». Interpellée sur « l'état inquiétant » du patrimoine, elle a promis de rappeler à Nicolas Sarkozy qu'il s'était engagé à soutenir les monuments historiques à hauteur de « 4 milliards d'euros en dix ans ». Même l'opposition a salué son « honnêteté intellectuelle ».
Article paru le 30 mai 2007 Source : L'HUMANITÉ Esprit critique. Vincent Josse : « Vous n’aimez pas la musique contemporaine ». Christine Albanel : « Non ». Vincent Josse : « Ils ne vont pas être contents, à l’IRCAM ». Rideau, on passait à autre chose sans autre forme de procès. Rappelons donc que l’IRCAM, créé par Pierre Boulez, compositeur et chef internationalement salué comme l’un des plus grands d’aujourd’hui, est une institution de recherche et de création unique dans le monde entier. Au-delà, les goûts personnels de Mme Albanel sont une chose. Que la ministre de la culture, dont une des vocations majeures est le soutien à la création, balaye d’un mot le travail de centaines de compositeurs aujourd’hui dans le monde comme en France, c’est tout à fait autre chose.
Article paru le 3/11/ 2007 Source : LE FIGARO HONNÊTETÉ, transparence et performance. Si la trilogie du nouveau propriétaire d'EMI débute comme un vieux tube de Billy Joel, elle s'achève sur une note aussi sèche qu'un rapport financier. Ces trois mots figurent dans un mémo interne adressé le 31 octobre aux personnels de la quatrième maison de disques au monde. Signé « Guy », le document révélé hier par le Financial Times annonce « des changements fondamentaux », dénonce « l'absence de culture de travail collectif » et appelle à être « plus sélectifs » dans le choix des artistes. Directeur général du fonds d'investissement Terra Firma, Guy Hands a déboursé en août 4,8 milliards d'euros pour racheter le britannique EMI, label des Beatles, des Rolling Stones, de Coldplay, de Diam's, de Raphael ou encore d'Axelle Red. Début 2008, il dévoilera la stratégie du groupe dont le chiffre d'affaires a encore fondu de 16 % l'an dernier, pour cause de révolution numérique. Mais le financier n'a pas attendu la nouvelle année pour faire une première mise au point. Sans citer de noms, Guy Hands assure qu'il est prêt à lâcher les artistes trop paresseux qui, contrairement au plus grand nombre, « ne pensent malheureusement qu'à négocier pour obtenir une avance maximum, avances qui souvent ne sont pas honorées en retour ». Des départs attendus Autre cible : les directeurs artistiques. Instauré depuis plus de vingt ans, leur système de rémunération « n'encourage pas les bons comportements et ne récompense pas les actions justes », poursuit le spécialiste du rachat par endettement. En clair, les cadres d'EMI sont payés sur chaque contrat signé, que l'album finisse en tête du box-office ou fasse un flop. Des départs sont donc attendus. En septembre, le charismatique directeur général Eric Nicoli a quitté l'entreprise (avec 4,5 millions d'euros), juste après le directeur financier. À l'occasion d'une récente conférence à Cambridge, le directeur général de Terra Firma avait expliqué que son métier consistait à dénicher, avant de les redresser, des entreprises en mauvais état dans les domaines les plus chamboulés. Il avait ajouté : « EMI, notre dernier investissement, est un cas classique. » Les analystes constatent, eux, que le rachat par endettement est intervenu juste avant la crise du crédit et qu'il faudra donc tailler plus qu'escompté dans les coûts pour rentabiliser l'opération. Non sans malignité, les concurrents s'interrogent aussi sur l'aptitude d'un financier à s'imposer dans un secteur où l'irrationnel le dispute à la démesure. En 2001, EMI a cassé le contrat le liant à une Mariah Carey dépressive neuf mois après sa signature. Coût de l'opération, dédommagements compris, pour un album sans souffle : 54 millions d'euros... Un an plus tard, EMI s'engageait à verser à Robbie Williams 80 millions d'euros. Très innovant, cet accord dit à « 360° » portait sur les disques, mais aussi sur le merchandising, les concerts, l'édition... Critiqué à l'époque, il est maintenant considéré comme une référence. Avant les autres, EMI avait anticipé que le CD ne serait plus le principal support pour monétiser le succès d'une vedette.La major EMI veut mettre ses artistes au pas.
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dim. 2 déc. 2007, 14:12
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pour paraphraser je ne sais qui; il n''y a pas de musique contemporaine ou pas contemporaine... il y a de la bonne ou de la môvaise musique... ... la mauvaise est très accessible... la bonne aussi, il faut se donner les moyens de la trouver et de la rencontrer... Un(e) ministre de la Culture, ca sert à quoi ??? aujourd'hui ?
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