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Facturation Free Lance, Statut |
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dim. 25 sept. 2005, 17:43
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Rookie
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Membre no 9,326
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"Tu peux aussi te verser des salaires (avec toutes les charges sociales qui vont avec) sans limite ou limité à 75% du Smic annuel si tu es president ou membre du bureau."
Je confirme "à hauteur de 75% du smig" Le texte permettant cela est réçent (2003 ou 2004), je suis certain de l'avoir lu dans un canard à destination des Assos.
" un intermittent ne doit jamais faire parti du bureau d'une association" Il le peut,sous certaines conditions depuis la réforme de 2003. Consultez les ASSEDIC, idem pour les Associés de SARL. D'ailleurs, n'avez-vous pas remarquer que ces questions qui figurait sur nos "feuillets" intermittent ont disparues depuis la réforme de 2003 ?
Pierric
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www.myspace.com/pierricguennegan
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dim. 25 sept. 2005, 19:48
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Moderateur Bouffon
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QUOTE (pierric @ Sep 25 2005, 18:43) Je confirme "à hauteur de 75% du smig" je viens de jeter rapidement un oeil sur des sites qui parlent de ça. ben dis donc. je suis comme emmalou, je vais faire un upgrade il y a à priori deux manieres d'aborder le salariat des dirigeants. un avec un plafond effectivement de 3/4 du smic. l'autre avec une limite fixée à moins de 3 fois le plafond de la secu. ça concerne les assos qui en dehors des subventions font un "chiffre d'affaire" > 200 000 € 3xle plafond de la secu, ça fait 84000 petas tout de meme. je suppose que le president des assedic peut se salarier comme ça. l'association 1901 a bien changée ces derniers temps. ça merite de faire un tour dans un cabinet juridique
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le heral, parce que je le vaurien
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lun. 26 sept. 2005, 10:24
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Advanced Member
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Membre no 3,823
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QUOTE j'ai eu affaire une fois à une feuille d'honoraire. (...)il nous avais fait donc une facture d'honoraire. si je me rappelle bien quelques centaines d'euros(...) il semblait dire que c'était pour lui le meilleur compromis car salarié ou intermittent à côté… voilà si ça peut vous aider… c'est une piste à dévelloper… Faut lire les posts précédents please... ce mode de facturation est une source d'ennui, on l'a assez dit ! Pour Saturax, la solution la plus clean, mais aussi la plus coûteuse en terme de charges, est le portage salarial : faire facturer par une association spécialisée, qui lui versera des cachets en retour, une fois déduites les charges et une commission. Les cachets des speakers embauchés par Saturax pourront eux-aussi être pris en charge par la dite assos. Evidemment, du montant initial il ne restera "que" le net, soit au mieux 50%. Mais c'est comme ça... en France, le travail a un coût... En tout cas pour une opération occasionnelle, c'est plus clean, et ça évite les frais d'une création d'entreprise, de la tenue d'une compta professionnelle, etc. Et puis peut-être pourrait-il récupérer un peu plus de cash en facturant à part la location de son matériel, comme le font de nombreux intermittents preneurs de son ou autre : du moment que c'est déclaré aux impôts et que ça ne dépasse un montant annuel à vérifier auprès du fisc, c'est parfaitement légal.
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Dans quel DD j'erre... Un peu par là.
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mer. 9 nov. 2005, 21:50
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pouet-pouet
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Membre no 10,621
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Salut, déterrage de post dans les norme, les données on un peu changées.. Voila le deal: on a autoproduit a 3 ( a savoir un muscicien-compositeur, un auteur et moi meme pour le son) une prod pour enfants, avec texte et musiques originales. Apres maintes démarches a toute les portes, on a trouvé un éditeur qui nous "embauche" en co-production sur le produit (à savoir, nous investissons notre prod a partir d'un devis l'editeur investi au niveau de la distribution et nous touchons un pourcentage sur les ventes en fonction du pourcentage du cout de notre investissement) Nous nous sommes entendu tout les 3 pour diviser les benefices en trois, a part egales (avec en plus pour l'auteur et le compositeur les droit d'auteurs). Seulement voila: quel statut adopter pour que tout ça soit bien clean..?? l'assoc est elle une bonne solution? j'suis désolé, je suis vraiment une bille pour tout ce qui est de l'administratif... merci pour vos lumieres...
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---SaturaX---
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mer. 9 nov. 2005, 22:17
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Moderateur Bouffon
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Membre no 22
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QUOTE (saturax @ Nov 9 2005, 22:50) l'editeur investi au niveau de la distribution et nous touchons un pourcentage sur les ventes en fonction du pourcentage du cout de notre investissement) regardez tres precisement ce que l'editeur appelle le net distribuable. il faut voir si il prevoit de compter en plus de la distribution facilement quantifiable, des frais de salon, publicité parfois un peu farfelus...... QUOTE Nous nous sommes entendu tout les 3 pour diviser les benefices en trois, a part egales oui, c'est ce que je disais, si c'est apres un paquet de frais connexes, vous pouvez allègrement monter une association, ça sera à but non lucratif donc faites vous aider par un avocat pour lire votre contrat avec l'editeur. ou prenez rdv à la sacem.
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le heral, parce que je le vaurien
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mar. 15 nov. 2005, 21:11
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Member
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Lieu : Aulnay Sous Bois - FR
Membre no 309
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Salut Saturax, Je te fais part de ma propre expérience puisque les bases sont similaires aux tiennes. Tout comme toi je suis à temps partiel dans une boite mais exerce depuis un p'tit bout de temps des activités type enregistrement, compos etc. J'ai opté pour le « travailleur indépendant », statut dont à mon sens voici les + et les moins. Les plus : 1) Avant tout la possibilité de te faire connaître en terme de pub (ca change du tout au tout !). 2) Le fait de pouvoir bosser pour des sociétés et plus seulement des particuliers (ca change du tout au tout !) 3) Un prestataire qui cherche (par ex.) un tech-son pour du live appréciera que tu lui fasses une facture puisque ca lui facilitera la vie. 4) Pour peu que comme moi tu optes pour le statut fiscal de micro-entreprise, tes obligations comptables seront quasi-inexistantes et te permettront de t'affranchir de la TVA ce qui, contrairement à ce qu'on m'a souvent dit, ne rebute absolument les boites qui t'embauchent.
Les moins : 1) En premier lieu bien sûr, le fait de devoir acquitter 2 fois les charges sociales (1 fois comme salarié, 1 fois comme T.I.). Ca ,c'est certain ca fout les boules. En effet quand t'es malade t'es bien évidemment pas remboursé sécu 2 fois ! 2) Oui le statut coûte cher, surtout les mois où y'a plus de taf.
Conclusion : Au final, je ne regrette vraiment pas d'avoir adopter ce statut mais la clé du truc est peut être de prendre au préalable qq risques en jonglant qq temps afin de se faire une clientèle. Il est certain que se dire : « OK, je prends un statut et je me mets à la recherche de clients », c'est direct dans le mur ! !
Comme tu sembles avoir déjà des propositions de taf, la solution n'est peut être plus très loin. C'est tout le mal que je te souhaite. Bye. Pascal
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Macintox
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