Victoire De Microsoft Dans Un Procès Anti-trust, Mardi 05 Novembre 2002 |
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mar. 5 nov. 2002, 07:38
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Maniac Member
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QUOTE de < http://actu.wanadoo.fr > article: http://actu.wanadoo.fr/Article/article_eco...6.3n1nofb4.html Mardi 05 Novembre 2002 Victoire de Microsoft dans un procès anti-trust WASHINGTON(AFP), le 03-11-2002 Microsoft a remporté une importante victoire vendredi après qu'un juge fédéral eut décidé d'entériner l'accord à l'amiable conclu avec le gouvernement américain et de débouter les Etats plaignants qui avaient continué les poursuites contre le numéro un mondial des logiciels. Dans son jugement publié sur le site internet du tribunal fédéral de Washington, la juge Colleen Kollar-Kotelly a estimé que l'accord à l'amiable conclu en novembre 2001 entre Microsoft et le département américain de la Justice, ainsi que neuf Etats, "satisfaisait l'intérêt du public". "C'est clairement une victoire pour Microsoft", a déclaré Robert Enderle, analyste du cabinet de recherche Giga Information Group. "Ce dossier est largement réglé", a estimé pour sa part Nicholas Economides, professeur d'économie à l'université de New York. En approuvant l'accord, la juge a rejeté en bloc les sanctions supplémentaires réclamées contre Microsoft par les neuf Etats qui estimaient l'accord trop favorable au groupe de logiciels. Ils voulaient notamment que Microsoft soit contraint d'offrir une version modulable de son logiciel vedette Windows, véritable coeur de 9 ordinateurs sur 10 dans le monde et au centre de la bataille judiciaire entamée il y a huit ans. "Plusieurs des sanctions proposées par les Etats plaignants nécessiteraient d'apporter des modifications drastiques aux produits de Microsoft" et "les plaignants offrent peu ou pas de justifications légitimes" à leurs demandes, a souligné la juge. L'accord à l'amiable, valable pour cinq ans, prévoit notamment que les fabricants d'ordinateurs doivent avoir plus de liberté pour configurer leurs machines et introduire des logiciels (navigateur internet, téléchargement de musique...) concurrents de ceux de Microsoft. Microsoft doit aussi fournir plus d'informations techniques sur Windows afin que les éditeurs de logiciels puissent concevoir des produits compatibles avec cette plateforme. Microsoft s'est dit "content" de l'approbation par le tribunal de l'accord. "L'accord est un compromis dur mais équitable et impose des conditions importantes à Microsoft, mais il nous permet de continuer à innover et à créer des produits qui répondent aux nouveaux besoins de nos clients", a indiqué le numéro un mondial des logiciels dans un communiqué. Pour l'Attorney general (ministre de la Justice) des Etats-Unis, John Ashcroft, la décision de la justice est "une grande victoire pour les consommateurs et l'industrie". Tom Green, adjoint de l'Attorney general de l'Etat de Californie, un des chefs de file des Etats plaignants, a indiqué qu'il était "beaucoup trop tôt pour décider si les Etats allaient faire appel". "La probabilité que les Etats gagnent en appel est très faible", a estimé Robert Lande, professeur de droit de l'université de Baltimore (Maryland). "La juge les a écoutés pendant trois mois et n'a pas été persuadée par ce qu'elle a entendu", a-t-il souligné. Les déboires juridiques de Microsoft n'en sont pas finis pour autant. Le groupe fait également l'objet de plaintes de ses concurrents AOL Time Warner et Sun Microsystems, et d'une plainte en nom collectif au civil déposée au nom de millions de consommateurs américains utilisant les logiciels du groupe. L'attention se déplace aussi vers l'Europe où Microsoft est sous le coup d'une enquête de la Commission européenne, qui soupçonne le groupe américain de profiter de sa domination sur les systèmes d'exploitation, avec Windows, pour mettre la main sur le marché des logiciels pour entreprises et pour serveurs. "La question reste de savoir ce que cette décision (de la justice américaine) signifie pour le dossier européen", a observé Robert Lande. "Vont-ils toujours conclure que Microsoft a commis de sérieuses violations ou cela va-t-il les obliger à faire marche arrière ?", s'est-il interrogé. La bourse a plébiscité vendredi soir la décision de la juge avec une progression de plus de 6% du titre de Microsoft dans les échanges électroniques. comme d'hab' .. "et d'une plainte [...] déposée au nom de millions de consommateurs [...] utilisant les logiciels du groupe" ... ha bon ? pkoi - pkoi ?? voilà, c'était pour info
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mar. 5 nov. 2002, 14:16
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Dans ce topic il n'y a presque que des erreurs. Je précise que j'étais pour une condamnation de Microsoft. Le procès en question n'était pas le nouveau procès de l'année mais le procès qui dure depuis 5 ou 6 ans contre M$. Il n'est pas question de Paladium (j'y reviendrais) mais de pratiques non concurentielles, abus de position dominante et monopole. La première décision sur ce procès a été le Microsoft day c'est-à-dire ce qui a déclenché (mais n'en était pas la cause) le plongeon du Nasdaq. Il avait été proposé à l'époque un éclatement de Microsoft comme cela avait le cas pour Bell dans le téléphone. Pas franchement pour des valeurs humanistes (c'est au US ) mais parce que le démentellement de Bell avait multiplié les profits dans le secteur. Comme le dit la Miss, Bush soutient Microsoft. Pas spécialement par idéalisme (il comprend ce mot le maitre du monde?) mais parce que Microsoft a largement financé sa campagne électorale (tout à fait légal au US de se faire financé par des sociétés). L'issue de ce procès ne faisait aucun doute, Bush, son administration pour être exact, ayant arrêté les poursuites et refuser de financer le procès, les états plaigants n'ayant pas les moyens de le faire. Donc le compromis va être appliqué et Microsoft ne sera pas démantelé. Pour Paladium, il faudrait arrêter d'aller chercher les infos sur les sites qui annonce aussi que Madonna est un travello ou qu'Elvis est encore vivant. Ce que j'ai lu sur Paladium est à peu près aussi abérrant que dire qu'internet c'est le big broher de 1984.
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jeu. 7 nov. 2002, 02:46
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La madame est partie.
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voilà ce que j'ai glané sur un site trèèèèès "elvis" décidemment .... Document source original en anglais : http://newsforge.com/newsforge/02/10/21/14...50.shtml?tid=19Pouvez vous faire confiance à votre ordinateur ? Par Richard Stallman (octobre 2002) : De qui votre ordinateur devrait-il recevoir ses ordres ? La plupart des gens pensent que leur ordinateur devrait leur obéir, et non obéir à quelqu'un d'autre. Avec un projet qu'elles appellent "trusted computing" ("l'informatique de confiance"), de grandes sociétés de médias (incluant des sociétés de cinéma et des maisons de disques), en collaboration avec des sociétés informatiques comme Microsoft et Intel, prévoient de faire en sorte que votre ordinateur leur obéisse au lieu de vous obéir. Dans le passé, des programmes propriétaires ont déjà inclus des dispositifs malveillants, mais ce projet rendrait ceci universel. "Logiciel propriétaire" signifie, fondamentalement, que vous ne contrôlez pas ce qu'il fait; vous ne pouvez pas étudier le code source, ou le modifier. Il n'est pas surprenant que des hommes d'affaires intelligents trouvent des façons d'utiliser ce contrôle pour vous désavantager. Microsoft l'a fait plusieurs fois : une des versions de Windows a été conçue de façon à informer Microsoft sur tous les logiciels de votre disque dur; un correctif "de sécurité" récent dans Windows-Media-Player exige que les utilisateurs acceptent de nouvelles restrictions. Mais Microsoft n'est pas seul : le logiciel de partage de musique KaZaa est conçu pour qu'un partenaire commercial de KaZaa puisse louer à ses clients l'utilisation de votre propre ordinateur. Ces fonctions malveillantes sont souvent secrètes, mais même une fois que vous en avez connaissance, il est difficile de les enlever, puisque vous n'avez pas le code source. Dans le passé, il s'agissait d'incidents isolés. L'"informatique de confiance" généralisera cela. Un nom plus approprié serait "informatique déloyale (treacherous computing)", parce que le projet est conçu pour s'assurer que votre ordinateur vous désobéira systématiquement. En fait, il est conçu pour empêcher votre ordinateur de fonctionner comme un ordinateur à vocation universelle. Chaque opération devra être autorisée explicitement. L'idée technique à la base de l'"informatique déloyale" (treacherous computing) consiste en ce que l'ordinateur inclut un procédé de chiffrement et de signature, dont les clefs ne vous sont pas connues. (La version de Microsoft est appelée "palladium"). Des logiciels propriétaires utiliseront ce dispositif pour contrôler quels autres programmes vous pouvez utiliser, quels documents ou quelles données vous pouvez lire, et avec quels programmes vous avez le droit de les lire. Ces programmes téléchargeront de nouvelles règles d'autorisation par Internet et vous imposeront automatiquement ces règles. Si vous ne permettez pas à votre ordinateur d'obtenir les nouvelles règles, certaines fonctionnalités cesseront automatiquement de fonctionner. Évidemment, Hollywood et les maisons de disques prévoient d'utiliser l'"informatique déloyale" pour la "gestion des droits numériques" (Digital Right Management), afin que les vidéos et la musique téléchargées puissent être joués seulement sur un ordinateur précis. Le partage sera complètement impossible, au moins avec les fichiers autorisés que vous obtiendrez de ces sociétés. Vous, (le public), devriez avoir la liberté et la capacité de partager ces choses. (Je m'attends à ce que quelqu'un trouve une façon de produire des versions non cryptées pour les télécharger, si bien que le DRM ne sera pas un succès total. Mais ça ne justifie en rien ce principe de restriction.) L'impossibilité du partage est déjà mauvaise, mais il y a pire. Il y a des projets d'utiliser la même méthode pour le courrier et les documents électroniques. Ainsi, certains mails disparaîtraient au bout de deux semaines, ou certains documents ne pourraient être lus que sur les ordinateurs d'une société. Imaginez que vous receviez un mail de votre patron vous forçant à faire quelque chose de risqué; un mois plus tard, si des ennuis surviennent, vous ne pouvez plus utiliser le mail pour prouver que la décision n'était pas la vôtre. Vous ne pouvez pas être protégé par un document écrit avec une encre qui disparaît. Imaginez si vous recevez un mail de votre patron exposant une politique illégale ou amorale. Aujourd'hui vous pouvez l'envoyer à un journaliste et exposer l'activité. Avec l'"informatique déloyale", le journaliste ne sera pas capable de lire le document; son ordinateur refusera de lui obéir. L'"informatique déloyale" devient un paradis pour la corruption. Les logiciels de traitement de texte comme Microsoft Word pourraient utiliser l'"informatique déloyale" pour enregistrer vos documents et s'assurer qu'aucun autre logiciel de traitement de texte concurrent ne peut les lire. Aujourd'hui nous sommes obligés de faire des expérimentations laborieuses pour découvrir les secrets du format de fichier Word ".doc" pour fabriquer des logiciels libres de traitement de texte qui supportent ce format. Si Word enregistre les documents en utilisant l'"informatique déloyale", la communauté du logiciel libre n'aura aucun moyen de développer un logiciel pour les lire - et même si nous pouvions, cela serait interdit par la loi DMCA (Digital Millenium Copyright Act). Les programmes utilisant l'"informatique déloyale" récupéreront régulièrement de nouvelles règles d'autorisation par Internet et appliqueront ces règles automatiquement à votre travail. Si Microsoft, ou le gouvernement américain, n'aiment pas ce que vous avez écrit dans un document, ils pourraient créer de nouvelles règles imposant à tous les ordinateurs de refuser de lire ce document. Chaque ordinateur obéirait à ces règles sans votre contrôle. Vos écrits seraient soumis à de l'effacement rétroactif façon "1984, de G. Orwell". Vous pourriez même être dans l'incapacité d'ouvrir vos propres documents. Vous pensez peut-être que vous découvrirez ce que cache un logiciel utilisant l'"informatique déloyale", et que vous déciderez de l'accepter ou non. Il faudrait être myope et idiot pour accepter, mais le problème est que votre décision aura une portée bien faible. Une fois que vous devenez dépendant de l'utilisation du programme, vous êtes pris et ils le savent; à ce moment ils peuvent changer les règles du jeu. Quelques logiciels téléchargeront automatiquement les mises à jour qui feront quelque chose de différent - et ils ne vous donneront pas le choix de mettre à jour ou non. Aujourd'hui vous pouvez éviter de voir vos libertés contraintes par un logiciel propriétaire, en ne l'utilisant pas. Si vous utilisez GNU/Linux ou tout autre système libre et si vous évitez d'y installer des logiciels propriétaires, alors vous pouvez décider ce que fait votre ordinateur. Si un logiciel libre a une fonction malveillante, d'autres développeurs de la communauté l'enlèveront et vous pourrez utiliser la version corrigée. Vous pouvez aussi utiliser des applications libres et des outils libres sur des systèmes qui ne le sont pas; cela ne vous octroie pas une liberté totale, mais beaucoup d'utilisateurs le font. L'"informatique déloyale" met en danger l'existence de l'informatique libre, parce que vous ne serez plus autorisé à l'utiliser. Certaines versions de l'"informatique déloyale" exigeraient que le système d'exploitation soit spécifiquement autorisé par une compagnie particulière. Des systèmes d'exploitation libres ne pourraient pas être installés. D'autres versions de l'"informatique déloyale" exigeraient que chaque programme soit spécifiquement autorisé par l'éditeur du système d'exploitation. Vous ne pourriez pas utiliser d'applications libres sur un tel système. Si vous y parveniez et que vous diffusiez la façon de faire, ce serait considéré comme un délit. Il y a déjà des propositions de loi américaines qui veulent exiger que tous les ordinateurs fonctionnent avec ce principe et interdire aux anciens ordinateurs de se connecter à l'internet. Le CBDTPA (nous l'appelons le Consume But Don't Try Programming Act, c'est-à-dire "consommez, mais n'essayez pas de programmer") est l'une d'entre elles. Même si elles ne vous forçaient pas légalement à vous convertir à l'"informatique déloyale", la pression sur vous pour l'accepter serait énorme. Aujourd'hui les gens utilisent souvent le format de Word pour communiquer, bien que cela cause plusieurs sortes de problèmes (voir http: // www.gnu.org/philosophy/no-word-attachments.fr.html (ou bien ici). Si les seules machines à pouvoir lire le format de Word sont des machines utilisant l'"informatique déloyale", beaucoup de personnes s'y plieront, s'ils voient la situation seulement en termes d'action individuelle (c'est à prendre ou à laisser). Pour nous opposer à l'"informatique déloyale", nous devons agir et réagir de façon collective. Pour plus d'information sur l'"informatique déloyale", voir http://www.cl.cam.ac.uk/users/rja14/tcpa-faq.html. (NdT : traduction bientôt disponible) Pour bloquer l'"informatique déloyale", il faut qu'un grand nombre de citoyens s'organisent. Nous avons besoin de votre aide! L'Electronic Frontier Foundation et la Public Knowledgefont campagne contre elle, ainsi que le Digital Speech Project lancé par la Free Software Foundation. S'il-vous-plaît, visitez leurs sites Web pour pouvoir vous inscrire et les aider dans leur travail. Vous pouvez aussi aider en écrivant aux bureaux d'affaires publics d'Intel, IBM, l'HP/COMPAQ, ou quiconque à qui vous avez acheté un ordinateur, expliquant que vous ne voulez pas subir des pressions pour acheter des systèmes informatique "de confiance" (trusted) et que vous ne voulez pas qu'ils en produisent. Cela peut aider le grand public à accroître sa pression. Si vous faites ceci vous-même, envoyez s'il vous plaît les copies de vos lettres aux organisations ci-dessus. PS : 1. Le Projet GNU distribue le logiciel GPG (GNU Privacy Guard), un programme qui utilise l'encryption à clef publique et la signature numérique, que vous pouvez utiliser pour envoyer des mails sûrs et privés. Il est utile d'explorer comment GPG diffère de l'"informatique déloyale" et de voir ce qui fait que l'un est utile et l'autre si dangereux. Quand quelqu'un utilise GPG pour vous envoyer un document crypté et que vous utilisez GPG pour le décoder, le résultat est un document non crypté que vous pouvez lire, expédier, copier et même re-crypter pour l'envoyer de façon sûre à quelqu'un d'autre. Un logiciel d'informatique déloyale vous laisserait lire les mots sur l'écran, mais ne vous laisserait pas produire un document non crypté que vous pourriez utiliser d'une autre façon. GPG, un logiciel libre, met la sécurité à disposition des utilisateurs; ils l'utilisent. L'"informatique déloyale" est conçue pour imposer des restrictions aux utilisateurs; ici, c'est elle qui les utilise. 2. Microsoft présente le Palladium comme une mesure de sécurité et prétend qu'il nous protégera contre les virus, mais cette revendication est évidemment fausse. Une présentation par le département de recherche de Microsoft en octobre 2002 a déclaré qu'une des spécifications de Palladium est que les systèmes d'exploitation logiciels existants continueront de fonctionner; donc fatalement, les virus aussi continueront à faire toutes les choses qu'ils peuvent faire aujourd'hui. En fait, quand Microsoft parle de "sécurité" en rapport avec Palladium, ce n'est pas avec la même définition que la nôtre : il ne s'agit pas protéger votre machine des choses vous ne voulez pas. Il s'agit d'ajouter une protection aux données de votre ordinateur, afin que vous ne puissiez pas les utiliser d'une autre façon que celle qui est prévue. Une diapositive de présentation a exposé plusieurs types de secrets pour lesquels le Palladium pourrait être utilisé, comprenant "des secrets de tiers" et "des secrets d'utilisateur" - mais les "secrets d'utilisateur" étaient entourés de guillemets, reconnaissant que ce n'est pas pour ça que le Palladium est vraiment conçu. La présentation fait une utilisation fréquente d'autres termes que nous associons fréquemment au contexte de sécurité, comme "attaque", "code malveillant," "spoofing," aussi bien que "trusted" (de confiance)." Aucun d'eux n'a la même signification que d'habitude . "attaque" ne veut pas dire "quelqu'un qui essaye de vous attaquer", cela signifie "vous, essayant de copier de la musique". "code malveillant" signifie "code installé par vous, pour faire ce que quelqu'un d'autre ne veut pas". "Spoofing" ne signifie pas "quelqu'un vous dupant", cela signifie "vous, contournant le Palladium". Et ainsi de suite. 3. Une déclaration précédente faite par les développeurs de Palladium a exposé le principe de base disant que quiconque crée ou rassemble une information doit pouvoir contrôler totalement la façon dont vous l'utilisez. Cela représenterait une vraie révolution pour l'éthique et pour le système légal et créerait un système de contrôle sans précédent. Ces systèmes n'arrivent pas par hasard; ils sont le résultat d'une volonté et d'un but non avoué. C'est ce but que nous devons rejeter. Copyright 2002 Richard Stallman. La reproduction mot pour mot et la distribution de l'intégralité de cet article (NdT: et de cette traduction) sont permises sans royalties sur quelque support que ce soit à condition que cette note soit préservée. Note de l'éditeur : Cet article est d'abord apparu dans le nouveau livre de Richard Stallman, "Free Software, Free Society". C'est la première fois que cet article apparaît en ligne et Stallman a ajouté de nouvelles remarques. ------------------------------------------------------------------------
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La Miss est partie sur Second Life et se prélasse sur du sable fin, entourée de créatures de rêves dans une végétation luxuriante... enfin une retraite bien méritée !!!
Yodelhihoo. ;-)
NB : ne laissez pas de messages dans ma bal, je n'y suis plus...
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jeu. 7 nov. 2002, 03:23
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P'tain… C'est BIG BROTHER IS WATCHING YOU ! No comment ! Bientôt on aura tous une puce dans le crâne et on sera controlé par sattelite… Les auteurs de SF étaient en plein dans le vrai… Ou est la sortie ?
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jeu. 7 nov. 2002, 19:42
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QUOTE Sans être parano, de nos jours la réalité dépasse la fiction : les tours du world trade, les dingos d'Allah, les tireurs fous de Washington, la prise d'otages à Moscou…pour les faits les plus spectaculaires Les productions hollywodiennes sont dépassées par les événement et doivent retarder la sortie de certains films trop en phase avec la réalité. Bientôt ils devront payer des droits d'auteurs aux terroristes, criminels et autres gentils animateurs de notre actualité L'hégémonie de Microsoft est telle qu'ils peut effectivement contrôler, espionner et asservir à son profit des millions d'utilisateurs, c'est l'incarnation implicite de la volonté de puissance d'une certaine Amérique, celle du "cauchemar américain". Big Brother, on y est ou presque mais heureusement Wise Sister est là, et veille…
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ven. 8 nov. 2002, 01:57
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… le Cartel militaro-industriel, les WASP, le KuKuxClan, McCarty… on peut mettre tout ça dans le même panier… Pas inintéressant de relire ou découvrir John Brunner : http://perso.club-internet.fr/branchum/brunner.htm"Tous à Zanzibar", "Le Troupeau Aveugle", "Sur l'Onde de Choc" et "L'Orbite déchiquetée"… 4 romans qui décrivent avec 30 ans d'avance le monde dans lequel nous vivons aujourd'hui… avec une lucidité étonnante! Ah et puis j'ai lu récemment ce roman de Norman Mailer : Rivage de Barbarie… peut-être écris dans les années 50… bah la Barbarie c'est notre monde… d'une certaine façon il avait aussi prédit l'attentat du 11 septembre… tension politique… ben ça relance l'industrie… lorsque l'on voit toute la technologie et l'argent investi dans un seul avion militaire… qu'est-ce qu'on pourrait pas faire avec ça ! http://www.lire.fr/site.asp/idC=41636&idTC...29&idR=242&idG=C'est pas une raison pour déprimer.
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