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Sacem Et Jeux Video, Quelques questions de bon sens ? |
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jeu. 25 oct. 2007, 01:31
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Bonsoir à tous,
Venant de la musique à l'image, je suis "novice" sur l'industrie du jeu vidéo mais après quelques temps passés à prendre des infos, je reste très surpris par la situation que je découvre, d'autant que personne ne semble relayer sérieusement ce scandale de la musique pour jeux vidéo, alors que cette industrie pèse plus lourd que celle du cinéma. Si tout ça est vrai, si ne n'est pas qu'une rumeurs, une incantation, une parano de la théorie du complot, pourquoi tant de silence ? Et s'il a un prix qui paye ???
Au fait, pourquoi les producteurs-éditeurs français de jeux vidéo ne développent pas les co-éditions, sous-éditions ou ne deviennent ils pas plus simplement éditeurs de musique ?
Ce serait pourtant leur intérêt que la création musicale ne soit pas qu'un poste qui coûte ?
L'édition leur permettrait l'amortissement tout ou partie de ce coût et d'engranger des recettes nouvelles, du bénéfice même, si les oeuvres éditées génèrent, par ailleurs, de nouvelles utilisations parralleles ou dérivées ( TV,PUB,CD,MP3,CINEMA, RING TONES... ).
Est-ce par manque de connaissances ou compétence en la matière ou par simple paresse que ce mode de fonctionement pourtant standard et éprouvé ailleurs, ne semple pas ou peu se développer, alors qu'il pourrait être beaucoup plus équitable pour tous que cette tarte à la crème du " Buy out " , très anglo-saxone et surtout ilégale de par chez nous, ou pour tous autres pays sous législation " Latine " ou appliquant le droit dit " Romain"?
D'autre part, on s'apeçoit que certain de ces producteurs ou éditeurs de jeux vidéo reçoivent l'aide du CNC pour le Multimédia, sachant que ce même organisme national propose aussi un dispositif d'aide à la musique originale pour ce même secteur du multimédia français.
Comment peut ces sociétés peuvent elle toucher ces aides et ne pas respecter la loi en matière de droits d'auteurs ?
Autre question, comment Vivendi Universal Games fait pour respecter les droits des auteurs-compositeurs qui font partie du catalogue Universal Music Publishing France, s'il semble que la négation du droit d'auteur soit devenue la norme, en tous cas contre les adhérents de la Sacem qui seraient banis du modèle économique du jeu vidéo ? A quand l'exclusion généralisée ?
Serait-ce donc les prémices de la fin du droit d'auteur au profit du contenu gratuit, modèle déjà plus que dominant sur internet ?
D'avance merci pour vos lumières, on vient de me proposer la musique d'un jeu vidéo, en me demandant du " Libre de droit Worlwide ", ce qui est un pléonasme, un contre sens, voir un gag... ;-)
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