Y-at-il une alternative à la facturation forfaitaire quand on fait un remix? Je pense qu'un remix d'un morceau est parfois tellement différent (voir mieux) que l'original qu'on peux le considerer presque comme une oeuvre autome. Or, si j'ai bien compris le règlement de la SACEM, une fois qu'une oeuvre est déclaré, elle le restera à jamais sans possiblité d'y changer quoique ce soit (par exemple la déclarer sous une autre forme avec l'accord de l'auteur, un bis en quelque sorte). Concrètement, le mec qui vend son remix pour 100 pesetas et qui voit que le morceau cartonne grace à lui sans qu'il y touche un pourcentage, c'est tant pis pour lui. Est-ce que quelqu'un a une astuce?
Bis.: cette problématique vaux aussi pour une reprise, puisque la SACEM ne redistribue kedal à l'interprète et à l'arrengeur...