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[Messensib]

Pascal Mulot gagne en partie sa vie en composant pour des pubs. C'est quand même malheureux. Ca me fait penser à un documentaire sur les clubs de jazz aux USA qui est passé récemment. On voyait l'un des frères Moutin (le contre-bassiste, un killer en passant ) qui expliquait que c'était la misère : pour avoir accompagné Mike Stern (quand même!!!) dans un club new yorkais, il touchait à peine 100 €...

Je ne vois pas ce qu'il y a de honteux pour une "pointure" de faire de la musique de pub. Déjà ce n'est pas si facile de satisfaire à toutes les contraintes imposées par les (j'ose pas dire le nom) disons "pas très compétents" donneurs d'ordre. La pub, c'est une "caisse de compensation". Et la contrainte est parfois instructive.
Cela fait des décennies que je vois d'excellents jazzmen français gagner des cachets de femmes de ménage (techniciennes de surface ) dans les clubs de jazz.

[heral]

  On voyait l'un des frères Moutin qui expliquait que c'était la misère : pour avoir accompagné Mike Stern (quand même!!!) dans un club new yorkais, il touchait à peine 100 €... 

Je ne vois pas ce qu'il y a de honteux pour une "pointure" de faire de la musique de pub.

d'autant plus qu'avant de jouer avec miles, mike stern faisait la manche à boston pour se payer un bout de pizza, et boire une bud dans un pub

[Bobby Sixkilla]

Je ne dis pas que c'est honteux de faire de la pub. Ca doit être assez sympa en fait. Je dis juste que c'est malheureux que de très grands musiciens soient obligés d'avoir de telles activités annexes pour vivre.

Je ne savais pas que Mike Stern avait galéré à ce point avant de rencontrer Miles.

[protoolsmaster]

Wai sauf que quand tu fait des ziks de pub, tu gagne pas 100 euros.

Ce message a été modifié par protoolsmaster - ven. 13 janv. 2006, 22:14.

[protoolsmaster]

Pascal Mulot gagne en partie sa vie en composant pour des pubs. C'est quand même malheureux.    Ca me fait penser à un documentaire sur les clubs de jazz aux USA qui est passé récemment. On voyait l'un des frères Moutin (le contre-bassiste, un killer en passant ) qui expliquait que c'était la misère : pour avoir accompagné Mike Stern (quand même!!!) dans un club new yorkais, il touchait à peine 100 €... 

Je ne vois pas ce qu'il y a de honteux pour une "pointure" de faire de la musique de pub. Déjà ce n'est pas si facile de satisfaire à toutes les contraintes imposées par les (j'ose pas dire le nom) disons "pas très compétents" donneurs d'ordre. La pub, c'est une "caisse de compensation". Et la contrainte est parfois instructive.
Cela fait des décennies que je vois d'excellents jazzmen français gagner des cachets de femmes de ménage (techniciennes de surface ) dans les clubs de jazz.

Completement daccord avec toi : Les contreintes rencontrer dans se genre de taf sont tres tres instructive.

[Mr.T]

Les contreintes rencontrer dans se genre de taf

Ouch...

[Bobby Sixkilla]

Les contreintes rencontrer dans se genre de taf

Ouch...

Ca sent le vécu!