Droits D'auteur Sur Le Cable? Options

[telaim]

Bonjour à tous
je n'arrive pas à comprendre si on peut décemment espérer gagner quelques sous sur les chaines cablés? La sacem et mon éditeur disent que c'est des clopinettes, sur les sites d'estimation de droits cela ne semble pas totalement nul...
J'ai fait des trucs pour Voyage, Equidia, tele senat ( ou chaîne parlementaire,) La 5 ... et il faut que je me batte pour les dates de diff etc (sachant que ça represnte un paquet de minutes)
Ca vaut le coup ou c'est tellement ridicule qu'il vaut mieux que je regarde tranquillement Derrik ou Hercule poirot pour attaquer ma sieste tranquillement?

[lionel2p]

Les droits d'auteurs sur le câble peuvent représenter de coquettes sommes, à condition d'y faire du volume.

Il y a une seule répartition en juillet. Attention cependant : toutes les chaines du cable ne sont pas prise en compte dans les listings
spontanément. Pour exemple, j'ai eu de nombreuse diffusions sur Disney Playhouse, filiale de Disney Channel. Il m'a fallu faire
une réclamation pour comprendre que pour toutes ces chaines "exotiques" du cable, il faut au plus tôt envoyer des preuves de diffusions
pour être payé.

Sur l'espace reservé de la SACEM, chaque sociétaire a accés au tarif du point pour tous les types de chaines. Il suffit de faire
le calcul suivant le coefficient de son œuvre et le minutage pour connaitre le montant des droits.

Attention également au site de Saceml, pas actualisé depuis longtemps qui ne reflète pas la réalité d'aujourd'hui.

Vu dans le thread, la RTBF procure de très bons revenus, équivalent à France 2.

Enfin, soyons heureux que la SACEM rémunère le câble à l'exploitation, ce qui est unique en Europe. Les autres pays le font par sondage, autant dire qu'a part les gros sociétaires, personne ne touche. L'équipe cable à la SAcem compte peu de personnel, comme l'international, et ils font un travail de titan pour les sociétaires. Avant de critiquer trop fort, faut essayer de comprendre le fonctionnement et aller à la rencontre des gens qui font vivre les droits. A trop critiquer, nous courons le risque de décourager une entité, qui, même perfectible, permet encore à des compositeurs de vivre dans une industrie qui perd pied de tous les cotés...