God save The Queen, ma foi il fait ce qu'il veut…
Mais quand MOTU va t'il sauver Quickscribe ? Hum je vous l'demande ?

Comment un éditeur de partition aussi sophistiqué dans la compréhension et la restitution rapide de notes sur une double portée peut-il être autant apprauvri en fonctions somme toute élementaires — en tout cas pour un représentant d'un logiciel pro tel que Digital Performer ?
On ne peut que déplorer une constatation : Quickscribe est bridé, tel un étalon cloîtré dans le jardin d'une abbaye : Ô Saint Code, priez pour lui.

J'avais fait un post à ce sujet sur unicornation : Que manque t'il à ce génial "interpréteur de notes", surtout face au scores des Cubase et Logic ?

Dans un premier temps : énormément de choses.
dans un deuxième temps : moins que ce qu'on pourrait penser.

Pour libérer Quickscribe, ses latitudes se doivent d'être élargies en tout premier lieu sur les 5 axes suivants :

1. Les clés : choix et insertion de toutes les clés à n’importe quel endroit de la portée (les 7 + clé percussion) — avec les symboles octava alta, octava bassa.

2. Le rythme : les multiplets (duolet, triolet, quartolet, quintolet, etc.) + brève (voire, longue).

3. L'indication de mesure : métriques composées (4/4 + 1/8 par ex.).

4. les voix : quatre voix — avec la fonction Flip stem.

5. Le tempo : indication des changements subtils de tempo :
- croche = …, noire = …
- rythme jazz

Finalement c'est plus que suffisant pour faire de Quickscribe un puissant outil pour partitions, allant bien au delà de ce qu'on peut proposer sur d'autres séquenceurs.

Éventuellement on pourra rajouter :

6. Intégration de raccourcis-clavier évidents (les flèches, le clavier numérique, cmd/opt/ctrl, etc.).

7. Une palette de signes et symboles relativement consistante :
- Les liaisons de phrases
- Les signes de pédales de piano(GarageBand les a !)
- Signes de modification de l’attaque des notes (pointée, lourée, piquée, accentuée, accentuée avec decrescendo)
- etc.

Voilà, je ne suis pas le seul à faire une requête au sujet de ce pauvre Quickscribe

Ce message a été modifié par musnoz - jeu. 13 avril 2006, 13:45.

achete toi un violon..ohh ca va on deconne...

" on déconne " Qui ça " on " ? Toi et ton violon ?

Jamais vu, mais bon!

C'est vraiment çà le problème de Quick
Manque d'imagination!

je sors, vu le côté provoc à 2 sous

Hum ?

Vraiment bridé et pas souple du tout ce Quick scribe aux vues de Cubase par exemple. Anormal pour un logiciel de cette qualité. L'autre jour je devais mettre des paroles sous des notes (très facile sous Cubase et très pratique d'ailleurs), dès que j'ai édité sur imprimante, tout était décalé. Un utilisateur m'a expliqué qu'il y'avait une combine et non pas de manip officielle. Un comble.

Mon opinion est que MOTU a dans son catalogue un très bon editeur de partition : Mosaic™, qui communique facilement et simplement avec DP.

Le probleme c'est que je devrait parler au passé, parce que la version pour OSX n'exixte pas...

En laissant tomber Mosaic™, MOTU va peut-être se décider à intégrer un editeur de partition correct dans DP, qui sait ?

Maintenant qu'ils ont bien rapetassé le reste de DP, ils pourraient s'y atteler…

Oui, Mosaïc était un éditeur de partitions bien sympa, je pense que ce qualificatif lui convenait bien — et l'imparfait de l'indicatif est un temps qui convient bien quand on parle de feu ce logiciel
Quickscribe est un peu le cheval de Troie de DP : quand on entre dans cet immense logiciel, on a le meilleur espace de travail pour l'audio via l'éditeur de séquences où tout est génialement malléable et on a tout d'un coup un éditeur de partoches riquiqui sur lequel tout semble médusé.

Ce message a été modifié par musnoz - dim. 16 avril 2006, 19:13.